Vous vous posez des questions sur votre projet de voyage dans l'une de nos destinations ? Vous trouverez toutes vos réponses ici ! N'hésitez pas à nous solliciter si vous ne trouvez pas ce que vous cherchez.

Foire aux questions

• Informations générales
  • Nous
    • El Tucan Viajero est une agence réceptive familiale, spécialisée dans le voyage sur-mesure. Lancée en 2009 lorsque nous vivions en famille au Costa Rica, notre concept connaît un fort succès et nous décidons de nous étendre sur d’autres destinations suivant le même modèle. Notre société basée à Nice en France (El Tucan Viajero S.A.R.L.) propose à nos voyageurs le Costa Rica, le Sri Lanka, les Maldives, la Namibie, l’Equateur et depuis 2022 Bali avec des bureaux à San José au Costa Rica, à Sanur pour Bali et à Colombo au Sri Lanka et aux Maldives.
  • Nos garanties
    • El Tucan Viajero dispose de toutes les garanties européennes et de l'agrément Atout France (RC Pro et Garantie Financière).
  • Assurance annulation et assistance voyage
    • Notre partenaire Chapka propose des assurances annulations (à prendre dans les 48 heures après votre confirmation) et des assistances voyages.
  • Vols internationaux
    • En tant qu'agence locale, nous ne gérons pas les billets d’avion. Mais nous vous aiderons avec plaisir dans vos recherches et vous invitons à utiliser le comparateur de vols ULYSSE
  • Notre concept et nos valeurs
    • El Tucan Viajero c'est l’histoire d’une famille, celle de Franck, qui vivait au Costa Rica. Après avoir parcouru pendant leurs vacances et week-ends le pays avec un souci de tout connaître et tout tester, ils se lancent dans le tourisme en montant une agence réceptive. Notre mantra ? Considérer nos clients comme nos amis avec le même souci du détail et de bien faire, car les vacances de nos clients sont importantes et méritent notre engagement entier. Nous avons à cœur de satisfaire les attentes de nos voyageurs.
  • Nous soutenir après le séjour
    • Si vous avez été satisfait de votre voyage (préparation ensemble en amont, hôtels, activités, suivi sur place….), nous vous invitons à partager votre avis auprès d'autres voyageurs.Si vous avez été satisfait de votre voyage (préparation ensemble en amont, hôtels, activités, suivi sur place….), nous vous invitons à partager votre avis auprès d'autres voyageurs. Vous pouvez le faire très simplement ici : El Tucan Viajero sur Google Avis. Ou déposer un avis sur le forum du Routard. En tant que petite agence locale, ces quelques minutes de votre temps sont pour nous précieuses et permettent d'apporter votre soutien à notre activité et nos partenaires locaux. Merci pour votre confiance et au plaisir de vous accueillir sur l'une de nos autres destinations !
• Bali
  • Le pays en quelques lignes
    • Langues
      • Le malais indonésien est la langue officielle du pays mais l'anglais reste couramment utilisé partout.
    • Météo
      • La période idéale pour partir à Bali s'étend de mars à octobre. Saisons des pluies de novembre à février.
    • Décalage horaire
      • Bali a 7h de plus que la France. Exemple : quand il est 12h00 en France, il est 19h00 à Bali.
    • Sécurité
      • D'un point de vue climatique, la menace principale est celle d'un tsunami ou tremblement de terre. Sinon, en cas d’agression, dans la mesure du possible, il est conseillé de n’opposer aucune résistance. - ne pas se promener la nuit seul, dans la rue, dans les parcs publics, les endroits isolés ou sur les plages. - en toute circonstance, ne laisser aucun document, ni effets personnels sans surveillance : à la plage, dans un bus, dans un restaurant ou un bar, dans un véhicule, à un arrêt de bus. - ne pas ranger les passeports, cartes bancaires, devises et billets d’avion dans des sacs à dos ou des sacs à main, mais de préférence les dissimuler sous les vêtements. - ne pas porter d’objets de valeur sur soi (montre, bijoux, etc.), ni de grosses sommes d’argent. - ne pas ranger tous ses objets de valeur/documents au même endroit (les répartir entre les bagages et/ou co-voyageurs).
    • Différentes zones de l'île
      • L'île de Bali peux être diviser en quatre parties : le sud, le centre, l'est et le nord. Au centre de l'île, Ubud et ses alentours est la zone culturelle de l'île. Elle est montagneuse. Que vous soyez sur une côte ou l'autre, les plages vous raviront.
    • Destination nature
      • Un environnement naturel qui vous charmera ! Sur terre, ce sont des longues étendues en relief de rizières en terrasse ainsi que des fôrets tropicales, et côté littoral, des fonds marins exceptionnels.
    • Volcans actifs
      • Les deux principaux volcans actifs de Bali se situent au nord-est. Le Mont Agung est le plus haut culminant à plus de 3 031m et le Mont Batur culmine lui à 1 711m d'altitude.
    • Espèces animales
      • Aussi bien sur terre que dans la mer, Bali vous séduira de part toutes les animaux que vous pourrez croiser. De nombreux singes, partout. Tortues et raies-mantas sont les espèces les plus impressionnantes parmi d'innombrables poissons. Nous vous conseillons la zone nord ouest de l'île pour ses sessions sous-marines.
  • Avant le départ
    • À emporter
      • Votre voyage à Bali approche et le moment vient de préparer sa valise. Ne vous chargez pas trop et prévoyez de la place pour vos achats au retour ! - Il faut des vêtements d’été légers, confortables et qui sèchent facilement (l’humidité peut être élevée). Un vêtement chaud (de type polaire) pour les régions en altitude et les soirées. Un vêtement pour la pluie de type K-way ou cape de pluie au cas où. - Des chaussures de marche (ou des chaussures de sport) pour les randonnées et les excursions. Les bottes en plastiques sont trop encombrantes et quand elles sont vraiment nécessaires elles vous seront prêtées ou louées. Si vous faites du Rafting, il faut des chaussures fermées qui supportent d’être mouillées! - Une paire de tongs ou de sandales d’été. - Un produit anti-moustiques pour les régions chaudes et humides. - Une crème solaire. - Une petite pharmacie : aspirine, smecta, désinfectant, crème pour apaiser les piqures d’insectes. - Un kit Palme/Masque/Tuba pour explorer les fonds marins (ou à louer sur place si trop encombrant). - Une lampe de poche.  - Vous pouvez ramener coloriages, tampons et fournitures pour les enfants balinais. - Enfin, pensez aux jumelles pour admirer les animaux !
    • Argent
      • La monnaie locale est le rupiah indonésien (IDR). En mars 2023, 1€ = 16 463 IDR. Des distributeurs à billet sont disponible dans chaque ville. Comptez un budget entre 300€ et 500€ sur place pour 9 jours pour deux (nourritures, emplettes, loisirs,...). Les prix des repas varient en fonction des restaurants que vous choisissez : pour les restaurants typiques locaux ("warungs") compter l'équivalent de 4€ par personne (plat complet et boisson), pour les restaurants dans les hôtels compter l'équivalent de 10/15€ par personne (en fonction du standing de l'hôtel).
    • Documents de voyage
      • Les ressortissants français souhaitant séjourner moins de 30 jours en Indonésie doivent faire un visa à l'arrivée à l’aéroport. Ce visa payant (32€), d’une durée de 30 jours, est délivré pour les déplacements touristiques. Une queue sera prévue à cet effet lors de votre arrivée à l'aéroport. Il faudra régler en espèces et il sera préférable pour vous de payer directement en dollars ou en roupies indonésiennes si vous voulez être sûrs que l'on vous rende la monnaie. Un billet retour est aussi exigé par les autorités indonésiennes. Enfin, assurez-vous que votre passeport soit valide au-delà de 6 mois à la date d’entrée en Indonésie et que vous ayez un passeport en bon état (pas de pages déchirées,...) et suffisamment de pages vierges y apposer le visa et les tampons d’entrée et de sortie du territoire.
    • Vaccins
      • Pas de vaccins obligatoires.
  • Transport aérien
    • Atterissage
      • Vous atterirez à l'aéroport de Denpasar et disposerez dans celui-ci de toutes les commodités nécéssaires.
    • Retard de bagage
      • Il peut arriver que vos bagages arrivent avec 2 à 3 jours de retard. Ils vous seront alors livrés à votre hôtel et nous coordonnerons au mieux la livraison avec la compagnie. En revanche, vous aurez le désagrément de ne pas avoir vos affaires pendant quelques jours. Notre conseil est de garder en bagage cabine un maillot, un short, un t-shirt et une paire de tong !
    • Transfert aéroport - hôtel
      • À votre arrivée à l'aéroport, plusieurs options. Dans tous les cas votre transfert est inclus. Il peut être réalisé par le premier hôtel dans lequel vous allez, ou bien par votre guide chauffeur.
  • Location de scooter
    • Scooters de location
      • Les modèles proposés par notre partenaire sont scooter Yamaha (XMAS 150CC ou NMAX 150CC) ou scooter Honda (PCX 150 CC ou ADV 150 CC).
    • États des routes
      • Les routes à Bali ne sont pas en bon état : étroites, cabossées, sinueuses, les bouchons sont fréquents.
    • Accident
      • Si vous subissez un dommage sur le véhicule ou un accident, appelez notre téléphone d’urgence afin de profiter de notre assistance sur place si vous avez besoin de soutien ou d’aide.
    • Précautions
      • En cas d’accident, ne bougez pas le véhicule, même si vous bloquez la voie. Attendez l’assureur, la police et contactez le loueur. Évitez de rouler la nuit, des animaux peuvent traverser.
  • Pendant le séjour
    • Pourboires
      • Rien n’est obligatoire, mais comme en France et selon votre satisfaction vous pouvez remercier en donnant 4k - 5k rupiah.
    • Téléphoner
      • Sans l'option de s'obtenir d'une carte SIM locale directement à votre arrivée à l'aéroport (ou dans une échoppe en ville plus tard), vous pourrez utiliser votre téléphone en mode avion et wifi.
    • Wifi
      • Tous vos hôtels disposent du wifi.
    • Activités de détente
      • Spa, massage... dans bon nombre d'hôtels où vous irez ainsi que dans vos zones traversées, vous pourrez apprécier de nombreux soins relaxants et découvrir la façon de faire balinaise.
• Costa Rica
  • Le pays en quelques lignes
    • Langues
      • L’espagnol est la langue officielle et la plus courante au Costa Rica.
    • Météo
      • - De décembre à avril à lieu la saison sèche sur la côte Pacifique et la vallée centrale. - La côte Caraibes est quant à elle toujours humide même en saison sèche. - La saison des pluies prend place de mai à novembre, et c’est aussi une très bonne période pour visiter le Costa Rica : le pays est plus vert et l’on observe plus d’animaux. - Vous constaterez un petit été en juillet que l’on appelle le Veranillo. Enfin, nous déconseillons la période de septembre à début novembre en raison du pic de la saison des pluies.
    • Décalage horaire
      • Il y a moins 7 heures en hiver et moins 8 heures en été avec la France métropolitaine (quand il est midi au Costa Rica en hiver, il est 19 heures à Paris). Le Costa Rica ne change pas d’heure en été. Moins 2 heures avec le Québec.
    • Sécurité
      • Le Costa Rica est sans doute le pays le plus sécure d’Amérique Latine. Fun fact : ils ont aboli leur armée en 1958. Voici les recommandations de France Diplomatie : - en cas d’agression, dans la mesure du possible, il est conseillé de n’opposer aucune résistance. - ne pas se promener la nuit seul, dans la rue, dans les parcs publics, les endroits isolés ou sur les plages. - en toute circonstance, ne laisser aucun document, ni effets personnels sans surveillance : à la plage, - - - dans un bus, dans un restaurant ou un bar, dans un véhicule, à un arrêt de bus. - ne pas ranger les passeports, cartes bancaires, devises et billets d’avion dans des sacs à dos ou des sacs à main, mais de préférence les dissimuler sous les vêtements. - ne pas porter d’objets de valeur sur soi (montre, bijoux, etc.), ni de grosses sommes d’argent. - ne pas ranger tous ses objets de valeur/documents au même endroit (les répartir entre les bagages et/ou co-voyageurs). - les vols de passeports étant fréquents, déposer les documents au coffre de l’hôtel et ne garder sur soi qu’une copie du passeport (ou une photo prise avec un téléphone portable), y compris la page sur laquelle se trouve le tampon d’entrée au Costa Rica. - en voiture, être attentif à « l’arnaque à la crevaison » : en cas de crevaison, si une personne se propose pour changer une roue, rester vigilant car un complice peut en profiter pour voler les sacs et effets personnels se trouvant dans le véhicule ; il est conseillé de se diriger vers un endroit fréquenté ; il en est de même si un autre véhicule heurte légèrement le sien.
    • Différentes zones du pays
      • La région de la cordillère centrale et ses volcans est le cœur économique du Costa Rica. San José est une ville dynamique où il est agréable de sortir. Il suffit de s’éloigner à seulement quelques kilomètres de la ville pour découvrir toutes les richesses d’un Costa Rica authentique ! La côte Caraïbe du Costa Rica est un véritable havre de paix qui se différencie du reste du pays. Partez à la découverte des cadences caribéennes et de la mixité culturelle de la côte Caraïbe. Au nord de cette côte vous trouverez le magnifique parc national de Tortuguero, à découvrir lors d’une paisible promenade en bateau. Cette grande plaine de forêt tropicale présente une incroyable biodiversité. Au sud, rencontrez les habitants afro-caribéens de Puerto Viejo de Talamanca, observez la ponte des tortues Luth, partez à la rencontre des indiens Bribris, ou surfez sur les vagues de Playa Cocles. La région des plaines du nord vous permet d’échapper à la foule en sillonnant les longues plaines du nord frontalières avec le Nicaragua. Vous y appréciez les ecolodges de charmes dans des zones rurales reflétant un Costa Rica traditionnel. De Puerto de Sarapiqui longé par le Rio du même nom, vous entrerez dans des communautés rurales entourées de forêts tropicales accessibles par des ponts suspendus. Rafting, tyrolienne, tour de cacao, forêts tropicales, plantations d’ananas, bananes, cœurs de palmiers, visite et logement dans des fermes, Sarapiqui est bien plus qu’une zone de passage entre la côte caraïbe et le volcan Arenal. Sarapiqui est également un lieu incontournable pour l’observation des oiseaux dont les fameux toucans. Des photographes professionnels y font souvent halte plusieurs jours. Plus au centre, le refuge de vie sauvage Cano Negro est une zone humide protégée abritant une très grande diversité biologique ; refuge important pour les espèces migratoires de janvier à mars. Vous y rencontrerez une grande diversité d’oiseaux, des caïmans, tortues, iguanes géants, plusieurs variétés de singes. Plus au nord, Boca Tapada est un trésor ornithologique avec 424 espèces, la moitié recensées dans tout le Costa Rica. Aussi, les balades de nuit sont très prisées à la rencontre des oiseaux nocturnes, batraciens, et mammifères de la nuit. La province du Guanacaste se trouve aussi dans le Nord du pays. Sa biodiversité est d’une grande richesse, pas moins de 850 espèces d’oiseaux y cohabitent dont le célèbre quetzal, les perroquets ou encore les toucans. Vous y découvrirez également le fameux volcan Rincon de la Vieja ! La péninsule sauvage de Nicoya est un incontournable. Vous pourrez profiter des eaux d’un bleu magnifique et des vagues qui feront le bonheur des amateurs de surf. Enfin, la côte pacifique sud est une très belle région bordée de magnifiques plages, cadre propices à la baignade et aux sports nautiques. La côte Pacifique du Costa Rica détient le record d’ensoleillement ! Découvrez à Playa Grande, les tortues-luth qui viennent pondre de décembre à avril. Puis, partez à la découverte de la péninsule d’Osa, elle abrite l’une des plus grandes forêts tropicales d’Amérique centrale. À partir de Drake, la navigation vers Isla del Caño, un spot de plongée remarquable, où il est parfois possible d’observer des dauphins et des baleines.
    • Destination nature
      • Le Costa Rica est une destination «100% Nature » : on y découvre sur un tout petit territoire (50 700 km2, 280 km de large et 480 km de long) : réserves et parcs nationaux, volcans, forêts tropicales, lacs, rivières, étangs, marécages, mangrove, savanes, plages désertes et montagnes. La richesse du Costa Rica c’est de voir défiler en quelques heures de route, des paysages totalement différents. Ainsi vous pourrez en un même séjour profiter d’un voyage fluvial dans le Parc National de Tortuguero, puis faire un plongeon dans la mer des Caraïbes, et partir pour une randonnée dans la forêt tropicale de Sarapiqui pour observer des oiseaux multicolores. Ensuite, randonnée dans une forêt de nuages à 1000 m d’altitude suivie d’une baignade dans les sources d’eaux chaudes du Volcan Arenal. Une randonnée au Volcan Tenorio ou au Volcan Rincon de la Vieja, une excursion sur une plage de la côte Pacifique pour voir la ponte des tortues marines, sans oublier une excursion sur une rivière pour observer aras rouges et énormes crocodiles ! Ensuite partez pour une balade en mer pour voir les baleines et dauphins dans le Parc National Marino Ballena, une journée de plongée sous-marine au large de la péninsule de Osa à l'île del Cano. Puis, une randonnée dans le plus sauvage des parcs nationaux du pays : le Corcovado, pour voir le tapir, le jaguar ou le puma pour les plus chanceux. Et finissez par une étape à 2600 mètres d’altitude dans la vallée de dota pour aller à la rencontre du Quetzal resplendissant.
    • Volcans actifs
      • Le pays compte également 5 volcans actifs : Poas, Irazu, Turrialba Rincon de la Vieja et Arenal. La cordillère de Talamanca abrite un des plus hauts sommets du pays : le Cerro Chiripo à 3818m ! De magnifiques randonnées pour les amoureux de la nature.
    • Meilleures plages
      • Côté plages, le Costa Rica donne l’embarras du choix ! D’abord, la côte pacifique nord compte de très belles plages de sable blond autour desquelles se sont développées de grandes stations balnéaires comme Tamarindo,Playa Flamingo, Playa Conchal, Papagayo… Puis, un petit peu plus au sud, la région est plus sauvage et offre plusieurs belles plages de sable blond : Samara, Carillo, Barigona, Pelada, Guiones… et des petits villages charmants où l’on trouve boutiques, bars et restaurants. Autour de Santa Teresa et Malpais, encore de très belles plages de sable blanc très appréciées des surfeurs. Montezuma et ses alentours offrent plutôt des petites criques sauvages avec quelques rochers et de belles cascades. Enfin, les plages de la côte pacifique sud sont plus sauvages et proposent moins d’infrastructures hôtelières. Mise à part les plages du Parc National Manuel Antonio, très fréquentées et dont les hôtels peuplent toute la colline. La côte caraïbe sud est également un endroit idéal pour profiter des plages et de sa barrière de corail. Du village de Puerto Viejo au Refuge de Manzanillo, se succèdent des petites plages qui rivalisent de beauté : Cocles, Chiquita, Punta Uva et Manzanillo. Et bien sûr, les plages du Parc Cahuita où l’on peut également pratiquer le snorkeling.
    • Espèces animales
      • Beaucoup, le mot est faible. Sur un territoire à peine plus grand que la Suisse, le Costa Rica compte 5% des espèces animales répertoriées sur Terre, 1/10è des oiseaux répertoriés sur la planète et plus d’espèces de papillons que l’ensemble de l’Afrique. Les réserves et parcs nationaux couvrent environ 25% du territoire. On y recense 200 espèces de mammifères : 6 espèces de félins (malheureusement menacées et très farouches) : jaguar, ocelot, puma, chat tigre, margay et jaguarundi. 4 espèces de singes : singe hurleur, singe capucin, singe écureuil (titi) et singe araignée (atèle). 2 espèces de paresseux : le paresseux à 2 doigts et le paresseux à 3 doigts. On y observe des ratons laveurs, des coatis, des olingos et des kinkajous. Dans la famille des rongeurs, on peut citer les écureuils et les agoutis. On rencontre également des tatous, des fourmiliers, des opossums (famille des marsupiaux), des pécaris (cochons sauvages), des lamantins et des loutres. Le Costa Rica compte 160 espèces d’amphibiens et 220 espèces de reptiles : 20 espèces de grenouilles produisent des toxines mortelles, 22 serpents sont venimeux (on peut citer le redoutable Terciopelo et le serpent corail). On croise beaucoup de crocodiles, de caïmans et d’iguanes. La ponte des tortues marines et la reproduction des baleines à bosses sont deux des attractions les plus extraordinaires du Costa Rica. 850 espèces d’oiseaux ont été répertoriées au Costa Rica parmi lesquelles on dénombre 51 espèces de colibris, 16 espèces de perroquets (de la petite perruche verte aux grands aras écarlates), 10 espèces de trogons (dont le fameux Quetzal resplendissant). Parmi les oiseaux multicolores, on vient admirer au Costa Rica entre autres les Toucans et les tangaras.
    • Observation d'oiseaux
      • L’observation de aras verts ou aras de Buffon dans leur milieu naturel est une expérience exceptionnelle. C’est le plus gros des aras, mais avec moins de 1000 individus sur la planète, principalement au Honduras, Costa Rica (qui en compte environ 300) et Équateur où ils vivent en petits groupes isolés, l’espèce est menacée d’extinction sans l’aide de projets privés. Le Projet Ara (hyperlink Projet Ara www.thearaproject.org) est une organisation privée sans but lucratif dont la mission est la réintroduction des aras verts (zone caraïbe) et des aras rouges (zone pacifique) dans leur milieu naturel. Initié dans les années 1980, ce projet a commencé par l’adoption de aras domestiqués illégalement que le ministère de protection du milieu naturel costaricien (MINAET) avait confisqué. Ces aras, qui malheureusement ne pourront jamais se réadapter au milieu naturel, servent de reproducteurs. Les bébés sont alors élevés dans leur habitat naturel où se trouve leur nourriture principale : les amandes de montagne. D’abord nourris, puis petit à petit, en réduisant leur ration, ils commencent à acquérir leur indépendance alimentaire. Ils étendent alors leur rayon d’action vers d’autres zones, riches en amandiers de montagne et aussi amandiers de plage. 87% des aras introduits survivent, permettant ainsi à l’espèce de se développer et d’investir leurs espaces du passé. A terme, les aras verts devraient avoir des groupes sur toute la zone caraïbe, de la frontière du Panama à la frontière du Nicaragua. Le projet Ara a aussi pour but de sensibiliser les populations locales à la protection de l’espèce. Les raisons de leur disparition sont en premier lieu la perte de leur habitat et la domestication, puis viennent la chasse par les tribus indigènes, et un nourrissage des aras sauvages non adapté les rendant malades. Aussi, le projet Ara a un but éducatif et touristique en faisant découvrir ces magnifiques oiseaux dans leur milieu naturel. Valérie, une française, responsable du centre de Manzanillo, vous fera partager sa passion et sa connaissance lors des visites qu’elle guide elle-même. Elle vous parlera de son expérience, du projet et des volontaires du centre et bien sûr de toutes les spécificités des aras, milieu naturel, comportement, nidification et éducation des bébés, leurs prédateurs comme le toucan pour les œufs et le boa, et aussi à reconnaître leurs cris et leur signification. Le centre de Manzanillo, à 12 kilomètres environ de Puerto Viejo de Talamanca, est au cœur de la « Nation Ara », libérée par le chaman Pa Blu, le chef des aras, au dix huitième siècle. Personnage essentiel, il fut exécuté pour ne pas avoir dénoncé les autres chefs indigènes entrés en rébellion. Déclaré héros national par décret législatif, le 4 juillet est maintenant journée nationale des défenseurs de peuples indigènes. La visite s’effectue sur rendez-vous (téléphone de Valérie 8971-1436) à partir de 16 heures quand les aras sont les plus actifs et se nourrissent. Spectacle magnifique de ces merveilleux oiseaux volant au-dessus de vous, se nourrissant à grands bruits dans un paysage exceptionnel. Vous observerez non seulement des aras verts mais aussi de nombreux toucans. Le tarif est de $20 par personne, participation servant au développement du projet qui ne se finance que par des fonds privés. Une autre forme de soutien est de postuler comme volontaire au centre. 2 volontaires sont nécessaires pour aider le projet, collecter de la nourriture sur les plages (amandiers de plage), organiser des informations auprès des populations locales Et aussi : le centre de réintroduction du ara rouge mérite votre visite lors de votre séjour dans la zone Pacifique de Samara (Guanacaste) et plus exactement à Punta Islita. Ce centre a plus de 200 aras de Buffon et aras Macao qui se reproduisent et sont en cours de libération.
    • Observation de mammifères
      • Le Parc National Marino Ballena (côte pacifique sud) est un des meilleurs spots pour l’observation de baleines et dauphins au Costa Rica. Les baleines à bosses se retrouvent dans cette zone (de décembre à mars et de juillet à octobre) pour mettre bas et élever leurs baleineaux dans des eaux chaudes et calmes. Quand ils auront acquis suffisamment de force, ils repartiront vers les eaux froides du nord ou du sud, parcourant 5000 à 8000 kilomètres, où le krill foisonne. On y observe également des dauphins. On peut également voir des baleines et des dauphins lors d’une excursion en bateau à l’Isla de Cano au large de la Péninsule de Osa. Le Rio Tarcoles (côte pacifique centrale) est une des zones les plus importantes pour l’observation des crocodiles au Costa Rica. Elle abrite une population de 3000 individus de crocodiles américains. Il s’agit d’une des plus grandes espèces de crocodiles. Les mâles adultes ont une taille moyenne de 5 mètres et peuvent atteindre 6 ou 7 mètres. Ils pèsent habituellement entre 400 et 500 kg et certains individus peuvent atteindre 1 000 kg. Leur nourriture est constituée d’animaux marins (poissons, tortues, crabes…). L’excursion en bateau sur le Rio Tarcoles que nous proposons dure environ 2 heures. Vous observerez crocodiles, aras rouges, iguanes, singes et oiseaux aquatiques. Vous explorerez également la mangrove de Sierpe. Le Refuge de vie sauvage de Cano Negro au centre nord du Pays est également réputé pour l’observation des crocodiles. Enfin, on peut aussi voir des crocodiles un peu partout dans le pays dans les estuaires et les cours d’eau… alors attention à la baignade dans les rivières. L’observation de la ponte des tortues marines est une des expériences les plus extraordinaires du Costa Rica. 7 espèces de tortues marines sillonnent les océans du globe depuis la petite tortue olive de Ridley (de 65 à 75 cm) à l’énorme tortue luth (de 190 à 210 cm). 5 d'entre elles pondent sur les plages du Costa Rica. Les tortues luth pondent d’octobre à avril sur Playa Grande près de Tamarindo et dans le refuge de Gandoca Manzanillo sur la côte caraïbe sud. Les tortues vertes pondent de juin à novembre à Tortuguero et à Gandoca- Manzanillo. Le spectacle le plus impressionnant est celui des arribadas dans le Refuge National d’Ostional sur la côte pacifique de juillet à décembre. Des milliers de tortues olives de Ridley viennent pondre en même temps sur la plage pendant 2 ou 3 jours chaque mois. Le signal est basé sur le cycle lunaire. L’association locale, AGLO, vous expliquera ce fabuleux miracle de la nature et vous fera partager la montée des tortues en assistant à son cheminement sur la plage, le trou qu’elle devra creuser, les oeufs tomber et finalement le camouflage avant son retour en mer où les mâles l’attendent pour renouveler le cycle de la reproduction. 45 jours plus tard environ vous pourrez assister à la naissance des bébés tortues. Tous en même temps, ils sortent du sable et se précipitent vers l’océan, essayant d’éviter chiens, coqs, oiseaux…mais le risque continue aussi en mer avec les poissons et les oiseaux. Comme par magie, ces bébés tortues qui vont sillonner les mers, reviendront pondre un jour sur la même plage à quelques dizaines de mètres près.
  • Avant le départ
    • À emporter
      • Votre voyage au Costa Rica approche et le moment vient de préparer sa valise. Ne vous chargez pas trop et prévoyez de la place pour vos achats au retour ! La majorité des hôtels proposent un service de laverie et on trouve dans certaines villes des laveries à + ou – 3$ le kg (lavage + séchage). - Il faut des vêtements d’été légers, confortables et qui sèchent facilement (l’humidité est élevée). Un vêtement chaud (de type polaire) pour les régions en altitude et les soirées. Un vêtement pour la pluie de type K-way ou cape de pluie (quel que soit la saison, on n’est jamais à l’abri d’une pluie au Costa Rica). - Des chaussures de marche (ou des chaussures de sport) pour les randonnées et les excursions. Les bottes en plastiques sont trop encombrantes et quand elles sont vraiment nécessaires elles vous seront prêtées ou louées. Si vous faites du Rafting, il faut des chaussures fermées qui supportent d’être mouillées! - Si une balade à cheval est prévue dans votre circuit, pensez à prendre un vieux pantalon pour éviter les frottements aux jambes (après la balade votre pantalon sera obligatoirement sale). - Une paire de tongs ou de sandales d’été. - Un produit anti-moustiques pour les régions chaudes et humides. Vous pourrez aussi acheter sur place dans tous les petits supermarchés un répulsif de la marque « OFF », très chimique mais très efficace. Il n’est pas nécessaire d’emmener une moustiquaire. Dans les zones “à moustiques” les chambres d’hôtels ont des moustiquaires aux fenêtres ou au-dessus du lit, - Une crème solaire. - Une petite pharmacie : aspirine, smecta, désinfectant, crème pour apaiser les piqures d’insectes. - Un kit Palme/Masque/Tuba pour explorer les fonds marins (ou à louer sur place si trop encombrant). - Une lampe de poche. - Enfin, pensez aux jumelles pour admirer les animaux !
    • Appareils électroniques
      • Courant en 110V et prises américaines : tous les appareils électroniques (appareil photo, rasoir, ordinateur…) fonctionnent aussi bien en 220V qu’en 110V (à vérifier sur le boîtier du chargeur), il vous faudra juste le petit adaptateur pour prises américaines.
    • Argent
      • Inutile d’emmener des euros, vous aurez des difficultés à les changer. Vous pouvez arriver avec un peu de dollars (200/300$), ils sont très souvent acceptés et ils vous serviront pour payer vos dépenses dans les hôtels, les entrées dans les parcs nationaux (de 10 à 16$ par personne, tarif réduit pour les enfants – paiement en espèces uniquement), vos activités… Aussi, il est vivement recommandé de voyager avec au moins 2 cartes bancaires internationales. Des clients n’ont pas pu louer la voiture car leur unique carte bancaire ne passait pas.
    • Documents de voyage
      • Les pays européens, y compris la Suisse et le Canada, font partie des pays du Groupe 1 qui n’ont pas besoin de visa pour entrer au Costa Rica. Il faut uniquement un passeport en cours de validité. Pour les autres pays, veuillez consulter la liste publiée par les services de l’immigration costaricienne : http://migracion.go.cr/extranjeros/visas/directrices_ingreso/Directriz%20Visas%202012.pdf.
    • Escale aux États-Unis
      • Si vous faites escale aux États-Unis, le passeport numérique est obligatoire. Pensez à faire la déclaration ESTA absolument obligatoire : https://esta.cbp.dhs.gov/esta/.
    • Vaccins obligatoires
      • Aucun vaccin n’est obligatoire pour un français entrant sur le territoire costaricien.
  • Transport aérien et accueil à l’aéroport
    • Atterrissage
      • Il y a de grandes chances que vous arriviez à l’aéroport international Juan Santamaria (SJO) d’Alajuela. Il s’agit d’un petit aéroport avec une seule sortie qui se trouve à 17 km du centre-ville San José. Vous y trouverez toutes les commodités nécessaires : boutiques, centre d’informations, location de voiture, restaurants.
    • Retard de bagage
      • Il peut arriver que vos bagages arrivent avec 2 à 3 jours de retard. Ils vous seront alors livrés à votre hôtel et nous coordonnerons au mieux la livraison avec la compagnie. En revanche, vous aurez le désagrément de ne pas avoir vos affaires pendant quelques jours. Si vous voyagez en hiver, et partez ensuite directement sur Tortuguero, vous risquez de vous retrouver en jean, pull et bottes par 35 degrés. Notre conseil est de garder en bagage cabine un maillot, un short, un t-shirt et une paire de tong ! Sachez que si vous avez réglé votre billet d’avion avec des cartes de type Premier ou Gold, vous avez une assurance retard bagage vous remboursant environ 200€ (à vérifier en appelant votre banque) d’achats de première nécessité sur présentation des factures et de l’attestation de retard de la compagnie. Sachez que l’agence de voyage El Tucan Viajero ne peut être tenue pour responsable en cas de perte, vol ou détérioration des bagages ou effets personnels durant le voyage. En cas de problème, il vous est recommandé de faire constater les faits par les autorités locales compétentes (dépôt de plainte).
    • Transfert aéroport - hôtel
      • Notre chauffeur vous attendra à la sortie de l'aéroport et vous accompagnera à votre hôtel. Il vous attendra devant le restaurant « El Malinche », 50 mètres à droite à la sortie de l’aéroport. Il aura un panneau de notre agence avec un dessin d’un toucan et écrit en vert « BIENVENUE ». Les précisions apparaîtront dans le carnet de voyage que vous recevrez une semaine avant votre départ. Pendant votre séjour, vous pourrez joindre Guillaume à tout moment si vous avez une urgence ou une question.
  • Véhicule de location
    • Véhicule de location
      • Nos voitures sont récentes et vous permettront de voyager sereinement en toute sécurité. Vous pourrez vous arrêter où et quand vous le souhaitez pour découvrir la nature incroyable du Costa Rica. Nous proposons des véhicules avec 2 ou 4 roues motrices (le 4×4 n’est pas obligatoire pour la majorité des routes, demandez-nous !) et avec boîtes de vitesses manuelles ou automatiques. Notre fidèle partenaire depuis 2009 œuvre pour des locations éco-responsables. Aussi, nous vous proposons d’ajouter des options à votre location de voiture : accueil aéroport et transfert San Jose, 1ère nuit dans le quartier colonial pour découvrir le charme de San José et livraison du véhicule le lendemain à votre hôtel. Package tout compris de Tortuguero, l’Amazonie du Costa Rica, avec guide durant votre séjour. Accueil et visite de San José avec notre guide francophone, idéal pour introduire le pays. Disposer d’un permis de conduire français, canadiens, belges ou suisses. Ils sont acceptés pour conduire au Costa Rica. Aussi, tout conducteur doit avoir au moins 21 ans et une carte bancaire.
    • Partenaire
      • Depuis plus de 11 ans, notre partenaire une société 100% costaricienne, nous apporte tout son sérieux. Une flotte récente de véhicules, régulièrement entretenue et renouvelée. Il dispose de plusieurs agences dans tout le pays et d’un réseau d’assistance réactif et consciencieux pour vous porter assistance rapidement et n’importe où. Nous sommes également à votre écoute pour vous conseiller si vous avez la moindre question. Engagé très tôt dans la lutte contre le réchauffement climatique et la pollution, notre partenaire est « carbone neutre ». Cela signifie que leur programme de reforestation, compensent les émissions de CO2 produites par votre véhicule durant votre séjour. Aujourd’hui au Costa Rica, seules 2 compagnies sont certifiées pour ce service. Notre partenaire s’est également engagé dans une dynamique du « tout recyclage » et obtient 5 feuilles sur 5 au classement éco-responsable de l’ICT (Ministère du Tourisme), comme reconnaissance de son sérieux et engagement dans le respect de l’environnement.
    • État des routes
      • La qualité des routes s’est fortement améliorée au Costa Rica. Tous les principaux axes de communications et principales routes sont parfaitement asphaltés et sûrs. On roule tranquillement (vitesse maximale 80 km/h) sauf dans la capitale San José où le trafic est dense et nerveux ! À l’aide de votre application GPS, rouler au Costa Rica se révélera donc une partie de plaisir. Vous sillonnerez des routes montagneuses principalement autour de Monteverde et de la vallée d'Orosi.
    • Assurance complémentaire
      • Au Costa Rica, l’assurance C.D.W. (assurance des tiers) est obligatoire et donc incluse dans notre devis pour éviter toute mauvaise surprise. Il s’agit d’une assurance qui couvre les dommages matériaux, blessures et décès causés à un tiers. La franchise couvre les dommages du véhicule loué dépassant le montant fixé en accord à la catégorie du véhicule. En cas de dommages matériels à des tiers, la franchise dans ce cas représente 20% du total des dommages causés. Un dépôt de garantie de $750 sera bloqué sur votre carte bancaire (carte crédit uniquement) comme c’est la règle de tout loueur de voitures et sera annulé en fin de location. D’autres assurances complémentaires sont optionnelles : La personne qui vous remettra le véhicule vous proposera systématiquement ces 2 assurances complémentaires. Par expérience, peu de clients y ont souscrit et très peu d’accidents depuis nos débuts d’activité en 2009. Ces assurances peuvent être souscrites lors de la prise de véhicule par tout conducteur de plus de 25 ans et pour 3 jours de location minimum. - Annulation de franchise du véhicule loué. Cette assurance annule la franchise en cas d’accident sur le véhicule loué. De nombreuses cartes bancaires (Visa Premier, Mastercard Gold, AMEX…) incluent gratuitement cette garantie si vous réglez la location avec cette carte. Environ 12€ par jour. - Annulation de la franchise pour les dommages causés à des tiers. La souscription de cette assurance annule la franchise des 20% des dommages causés aux biens d’un tiers. Environ 7€ par jour.
    • Accident
      • Si vous subissez un dommage sur le véhicule ou un accident, il est impératif de ne pas toucher le véhicule et de le laisser tel quel, au milieu de la route si besoin, même si cela crée un embouteillage (les gens sont habitués et comprennent parfaitement). Contactez ensuite immédiatement la police de la route et l’INS, l’assureur étatique. Vous pouvez également appeler notre téléphone d’urgence afin de profiter de notre assistance sur place si vous avez besoin de soutien ou d’aide. Si la voiture ne peut plus avancer, l’assistance du loueur vous conduira immédiatement à votre hôtel pour vous laisser vous reposer.
    • Précautions
      • La vitesse maximale dans le pays est de 80 km/h sur la majorité des routes hors agglomérations, ne prenez pas le risque d’une “multa” (amende) bien plus chère qu’en Europe ! L’assurance ne saurait vous protéger si le dommage a lieu sur une route non carrossable, en traversant une rivière, sur la plage, sous l’emprise de stupéfiants ou si une quelconque infraction au code de la route est relevée. En cas d’accident, ne bougez pas le véhicule, même si vous bloquez la voie. Attendez l’assureur, la police et contactez le loueur. Privilégiez l’application Waze très utilisée au Costa Rica. Gratuite et précise sur les itinéraires et temps de trajet. Évitez de rouler la nuit, des animaux peuvent traverser. Même si le pays est petit, sa diversité est incroyable, vous ne verrez pas tout en 1 seul voyage. Faites un circuit cohérent pour éviter des heures de conduite inutiles. Rassurez-vous, le loueur vous répétera ces informations et vous donnera tous les contacts au moment de la remise du véhicule. Et surtout, les accidents impliquant des touristes sont rarissimes car en dehors de la capitale, il est très facile de circuler au Costa Rica.
    • Remise du véhicule de location
      • Pour la location de voiture, un permis de conduire classique est demandé ainsi que votre carte bancaire. Il faut l’original du permis. Le loueur n’acceptera pas de vous louer la voiture si vous n’avez qu’une copie du permis. Attention, si vous emportez un permis international vérifiez qu’il est encore valide, des clients n’ont pas pu louer la voiture car leur permis international était périmé. La restitution de votre véhicule dépend de l'heure de votre vol retour. Votre agent de voyage vous informera de la procédure à suivre pour que tout se combine bien dans les temps. Notez que la remise ou restitution de votre véhicule est gratuite aux aéroports, dans les hôtels de San Jose, Alajuela, La Fortuna Jaco et Liberia et même à Guapiles ou Siquirres (retour de Tortuguero).
    • GPS
      • Avec l’application mobile WAZE (GPS de Google Maps), votre smartphone se transforme en un GPS intelligent et gratuit. Vous pouvez également utiliser des applications gratuites telles que MAPS.ME qui ne nécessitent pas d’accès internet. Il suffit de télécharger l’application et la carte du Costa Rica avant votre départ.
  • Pendant le séjour
    • Pourboires
      • Le pourboire est normalement inclus dans les restaurants, bars, taxis, stations-services… mais quelques pièces seront d’une agréable surprise. - Restaurant et bar : de 0 colon (le service est inclus) à 10% de la note. - Taxi : de 0 colons à 500 colons. - Station-service : 200 à 300 colons uniquement pour des services spéciaux : nettoyer vos vitres (utile après un parcours sur pistes), réviser la pression des pneus… - Bagagiste : de 500 à 1000 colons. - Gardien de parking : de 200 à 400 colons. - Guides intervenant sur une demi-journée ou journée : de 2 000 à 5 000 colons. - Guide accompagnateur sur circuit de plusieurs jours : de 3 000 à 10 000 colons par jour. - Chauffeur sur circuit de plusieurs jours : de 2 000 à 5 000 colons par jour.
    • Téléphoner
      • Votre smartphone peut vous être très utile au Costa Rica. Il suffit qu’il soit déSIMbloqué (demandez à votre opérateur, cette procédure gratuite peut prendre quelques jours) et d’acheter (environ 5€) une puce téléphonique locale. Choisissez plutôt l’opérateur Kolbi qui a une couverture plus large du pays. D’autres comme Movistar ne couvrent pas la zone de Tortuguero notamment. Son activation prend 5mn. En achetant une puce locale dès votre arrivée, vous pourrez immédiatement vous mettre en contact avec Guillaume. Cette puce peut être également achetée ou rechargée dans de très nombreuses échoppes qui affichent la marque de l’opérateur. Pour ceux qui ne parlent pas espagnol voici la question à poser “Quiero comprar una chip prepago para mil colones”. Votre SIM vous offre également Internet (configuré en point d’accès vous pouvez aussi accéder à Internet avec votre ordinateur), et un accès au réseau téléphonique avec un numéro du Costa Rica. Parfois utile pour être joint depuis l’étranger ou pour joindre les hôtels ou Guillaume en cas de besoin.
    • Wifi
      • La majorité des hôtels proposent un accès wifi gratuit, la plupart du temps à la réception ou au restaurant, plus rarement dans les chambres.
    • Argent
      • Sur place, vous pourrez retirer de la monnaie locale « colones » dans les distributeurs automatiques de billets qui sont présents dans tout le pays. Ne craignez pas les frais bancaires, ils sont équivalents aux commissions des bureaux de change. Ayez toujours des espèces sur vous (30 à 40 000 colones). Les petits restaurants typiques (« Sodas ») ou les petits commerces ne prennent pas toujours les cartes bancaires ou les dollars. A votre arrivée à l'aéroport par exemple, demandez à Guillermo, votre taxi, de vous arrêter devant un distributeur de monnaie. Dans le pays, les distributeurs sont partout. Évitez les euros, le change peut être très long dans les banques.
    • Gastronomie locale
      • La gastronomie locale costaricaine est saine et équilibrée. Les plats typiques sont le casado (plat traditionnel complet incluant bananes plantains, haricots noirs, salade, riz accompagné d'une viande ou poisson et d'un jus de fruit), le ceviche de poisson, le chifrijo, les bananes plantains et jus de fruits. Comptez entre $5 et $8 pour un casado dans un restaurant local.
    • Qu'incluent les séjours tout compris à Tortuguero ?
      • Cette formule est utilisée par la majorité des lodges de Tortuguero et inclut : (1) le transfert aller-retour depuis votre hôtel de San Jose (bus et bateau) avec un guide (anglais, espagnol) durant tout votre séjour. (2) logement et tous les repas du petit déjeuner du jour 1 au déjeuner du dernier jour avec eau et jus de fruits. (3) la visite du village de Tortuguero. (4) une visite guidée en petit groupe du Parc Nacional. (5) pour certains comme Mawamba une visite à pieds des jardin du lodge. Non inclus : entrées du PN, boissons, visite du PN additionnelles ou tour de tortues en saison ne sont pas inclus.
    • Activités de détente
      • Pour commencer, le « Pure Jungle Spa » est un adorable petit spa situé dans le village de Puerto Viejo, côté Caraïbe. Il propose des soins corporels et faciaux très originaux à base de produits issus de plantations organiques locales. (Cacao, papaye, ananas, bananes, concombres, aloe vera…). Ainsi, laissez vous chouchouter pendant plus d’une heure et relaxez-vous aux doux sons des oiseaux et autres animaux de la jungle alentour! Côté traitements faciaux, le “Jungle Chocolate Facial”. Une pâte de chocolat noir et pur fabriquée à la main par une famille indigène Bribri pour rendre votre visage satiné et doux. Pour une durée d’1h (55$), il y a le “Tropical Bliss Papaya Facial”. Masque facial à base de papaye et d’ananas organiques cultivés dans une ferme locale. Pour une durée d’1h (55$) il y a le “Caribbean Cooler” : mélange de concombre rafraîchissant et d’aloe vera, enveloppement dans des feuilles de bananes pour hydrater la peau. Sinon, pour une durée de 45 min (45$), optez pour un traitement corporel au “The Ultimate Total Body Chocolate Decadence” : un traitement à base de pâte de chocolat organique qui provient de la ferme d’une famille indigène de la région de Puerto Viejo. La pâte sert d’exfoliant et le beurre de cacao rend la peau soyeuse. Le « Garden of Eden » est un traitement consistant à passer sur le corps une infusion exotique à base de papaye et de nectar de miel puis à l’envelopper dans des feuilles de bananes afin que le corps absorbe vitamines, enzymes et phyto nutriments. Il y a aussi le “Talamanca Rose Mud” : on applique sur le corps une couche de boue volcanique aux odeurs de rose qui nettoie profondément la peau, la rend plus douce et lui apporte des minéraux. Pour conclure, tous ces traitements incluent un massage, ils durent 1h (65$) ou 1h30 (90$) au choix. Vous choisirez votre huile de massage et votre type de massage et vous vous relaxerez au son des oiseaux, grenouilles et insectes de la jungle qui entourent le SPA.
    • Activités d'aventure
      • Canopy ou tyrolienne, ponts suspendus, rafting ou floating, snorkeling et plongée… Le Canopy ou parcours en tyroliennes à la cime des arbres est une activité très développée au Costa Rica. Cette activité permet d’observer la nature tout en faisant une activité ludique et parfois, selon les parcours, à fortes sensations! Ces activités sont très bien encadrées par des guides formés aux normes américaines. Vous serez donc accompagnés tout au long du parcours par au moins 2 guides: le premier s’assure que vous êtes bien attachés au départ de la tyrolienne et le second vous réceptionne au bout. Vous pouvez donc y aller les yeux fermés! Nous aimons beaucoup le parcours de « Aventuras de Sarapiqui » qui permet de « voler » au-dessus du Rio Sarapiqui. Le Sky Trek à Arenal fait partie des parcours à fortes sensations avec beaucoup de vitesse et de hauteur. La Hacienda Baru à Dominical propose un parcours plus axé sur l’observation de la faune et de la flore que sur les sensations. Beaucoup d’hôtels de la région du Volcan Rincon de la Vieja comme par exemple la Hacienda Borinquen, le Buena Vista Lodge, la Hacienda Guachipelin… proposent à l’intérieur de leur propriété des activités de canopy. La région de la Réserve de Monteverde a été la toute première région du pays à développer cette activité. L’Original Canopy Tour du Cloud Forest Lodge à Monteverde est considéré comme le premier parcours du pays. Le Selvatura Park et le Sky Adventure Park à Monteverde proposent également des parcours à fortes sensations avec des paysages de forêt tropicale de toute beauté. On trouve également sur les parcours des activités appelées « Tarzan Swing ». En effet, vous serez accrochés avec votre harnais à une corde et vous ferez un saut dans le vide depuis une plateforme en hauteur comme Tarzan dans la jungle accroché à une liane! Les randonnées sur des ponts suspendus font partie des activités les plus originales du Costa Rica et permettent de belles balades à la cime des arbres avec des vues spectaculaires et quelques sensations dues à la hauteur des ponts. La plupart du temps, ces ponts construits en acier font partie de sentiers aménagés et permettent de passer au-dessus d’une rivière ou d’une colline à l’autre. Ces ponts sont accessibles à tout le monde, à l’exception des personnes vraiment sujettes aux vertiges. Voici la liste de nos ponts suspendus préférés : A Sarapiqui, dans la Réserve Tirimbina, 2 ponts suspendus, dont un qui traverse la rivière Sarapiqui, au sein de 9 km de sentiers. A Arenal, les « Puentes Colgantes » proposent un parcours de 3 km avec 14 ponts suspendus (de 48 à 98 m de long) et le Sky Walk, 3,6 km de sentiers avec 5 ponts suspendus (de 40 à 140 m de long). À Monteverde, les ponts suspendus du parc Selvatura font partie de sentiers aménagés de 3 km au milieu de la forêt de nuage de Monteverde. Au total 8 ponts de 50 à 170 m de long dont certains sont à 60 m de hauteur. Le Rafting est une excellente manière de combiner aventure et observation de la nature. Le Costa Rica possède un grand nombre de rivières parcourues de rapides grâce à ses hautes montagnes souvent arrosées par d’abondantes pluies. Les rivières sont classées par niveau de la Classe I (eau paisible) à la classe V (réservées aux experts). De la classe I à la classe III aucune expérience n’est requise. Les débutants sont aussi acceptés en classe IV mais il faut savoir que la descente sera très sportive! Tout le matériel est fourni, il vous suffira de porter des chaussures fermées susceptibles d’être mouillées et un maillot de bain sous un short/tee shirt, il y a de fortes chances pour que vous soyez arrosés. Tous les opérateurs fonctionnent selon des normes professionnelles de sécurité nord-américaines. Allez-y donc en toute confiance. Le Rio Reventazon et le Rio Pacuare sont le nec plus ultra des descentes à fortes sensations au Costa Rica. Les départs se font depuis la ville de Siquirres, dans la plaine caraïbe. Pour une activité plus tranquille et plus axée sur l’observation de la nature, choisissez plutôt le Rio Sarapiqui, toujours dans la plaine caraïbe ou le Rio Corobici dans le guanacaste. Le Floating est le cousin tranquille du Rafting, les embarcations à rames descendent doucement et paisiblement les rivières calmes. On peut faire du snorkeling et de la plongée bouteille sur les 2 côtés du pays. Du côté Caraïbe, le Parc National Cahuita possède une des plus belles barrières de corail du pays. On peut également faire du snorkeling en partant des plages de Puerto Viejo. Plusieurs centres proposent des plongées bouteille à Puerto Viejo. Côté pacifique, il est possible de faire de la plongée en apnée autour de l’Isla Chora au large de Samara ou à l’Isla Tortuga au départ de Montezuma. Un centre de plongée bouteilles propose des sorties depuis Nosara au nord de Samara. L’Isla de Cano au large de la péninsule de Osa est sans doute l’endroit le plus réputé pour la plongée en apnée ou bouteille.
    • Sources thermales
      • On trouve des sources thermales principalement dans la région du Volcan Arenal et la région du Volcan Rincon de la Vieja. Vous vous baignerez dans des bassins d'eau chauffée par les volcans et aux vertus thérapeutiques. Autour du volcan Rincon de la Vieja on peut également s’enduire de boue volcanique pour avoir la peau douce et hydratée.
    • Qu'est-ce que la bioluminescence ?
      • Au Costa Rica on parle d'espèces bioluminescentes (méduses, poissons-lanternes, calmars...). Ces animaux produisent leur propre lumière grâce à une réaction biochimique. Ces espèces sont très nombreuses dans l'océan, parfois observables, bien que ce phénomène se produise surtout dans les abysses. Vous pourrez apercevoir ce spectacle les nuits peu éclairées sur la Péninsule d'Osa et les plages de la côte Pacifique. Comptez en moyenne 40$ par personne.
    • Faut-il impérativement réserver en ligne et à l'avance nos billets d'entrées pour certains parcs nationaux ?
      • Les prix d'entrées des parcs nationaux ne sont pas toujours inclus dans les excursions. Souvent, ils sont à régler sur place par vous même. Afin d'éviter les sur-fréquentations, il est impératif de réserver en ligne vos entrées avec jour et heure sur le site officiel : https://www.sinac.go.cr/ES/resvlinea/Paginas/default.aspx
    • Assistance
      • Guillaume, notre agent local qui vit au Costa Rica, suivra toute la logistique de votre circuit. Vous pourrez le contacter pendant votre circuit si vous avez une question ou un souci.
    • Quelles sont les horaires d'ouvertures du marché artisanal de San José ?
      • Le marché artisanal de San José est ouvert du lundi au samedi inclus.
    • Comment se rythme la vie des tortues à Tortuguero ?
      • Vous assisterez à la ponte des tortues vertes (juin à octobre), des tortues luth géantes (mi-février à juillet au sud du parc vers la zone Barra de Pacuare) ou assisterez à l'éclosion et le retour à la mer des bébés tortues les mois suivants.
    • Comment sont les conditions pour faire de la plongée à Puerto Viejo ?
      • La plongée est possible à Puerto Viejo mais les conditions sont souvent difficiles sur cette côte.
    • Quel type de faune pourrait-on voir à Puerto Viejo ?
      • Vous pourrez observer des singes, des félins, des paresseux, des ratons laveurs, des coatis, des fourmiliers, des reptiles, des grenouilles, des crocodiles, des caïmans et toutes sortes d'oiseaux dont le magnifique toucan.
    • À Sarapiqui, est-ce possible de faire deux activités : visite tour de cacao et visite plantation agricole (ananas ou cœur de palmier) ?
      • Il est possible de combiner les visites de deux plantations agricoles sur un séjour de 2 nuits minimum à Sarapiqui.
    • À Alajuela, est-il réalisable en 2 jours, en prenant en compte le temps de trajet, de combiner visite du parc national avec le volcan Poas et la plantation de café ?
      • Il est possible en 2 jours pleins de combiner visite du parc national du volcan Poas et plantation de café. Même sur une journée en étant au Volcan Poas le matin à l’ouverture pour éviter les nuages et à la plantation de café sur le chemin retour.
    • En cas d’intempéries ou de problèmes nous empêchant de réaliser une activité, y a-t-il une alternative proposée ?
      • Dans ce cas vous serez remboursés.
• Équateur
  • Le pays en quelques lignes
    • Langues
      • La langue officielle est l'espagnole et l'anglais est couramment utilisé.
    • Météo
      • Deux saisons : la saison humide de décembre à mai et la saison sèche de juin à novembre. Le climat est équatorial. Pas de fortes chaleurs, il fait plutôt frais tout au long de l'année.
    • Décalage horaire
      • L'Équateur compte 7h de moins en été et 6h de moins en hiver par rapport à la France. Exemple : en été, quand il est 12h00 en France, il est 05h00 du matin en Équateur.
    • Sécurité
      • - en cas d’agression, dans la mesure du possible, il est conseillé de n’opposer aucune résistance. - ne pas se promener la nuit seul, dans la rue, dans les parcs publics, les endroits isolés ou sur les plages. - en toute circonstance, ne laisser aucun document, ni effets personnels sans surveillance : à la plage, dans un bus, dans un restaurant ou un bar, dans un véhicule, à un arrêt de bus. - ne pas ranger les passeports, cartes bancaires, devises et billets d’avion dans des sacs à dos ou des sacs à main, mais de préférence les dissimuler sous les vêtements. - ne pas porter d’objets de valeur sur soi (montre, bijoux, etc.), ni de grosses sommes d’argent. - ne pas ranger tous ses objets de valeur/documents au même endroit (les répartir entre les bagages et/ou co-voyageurs).
    • Différentes zones du pays
      • Petit pays d'Amérique du sud, l'Équateur offre une incroyable diversité sur un territoire moitié moins grand que celui de la France. Le pays est divisé en quatre grandes régions : la Sierra, l'Oriente, la Costa ainsi que les îles Galápagos, offrant ainsi un condensé d'Amérique latine. La Sierra, région la plus peuplée, est la partie andine du pays et abrite les principaux volcans d'Équateur, géants aux sommets enneigés pouvant atteindre jusqu'à 6 263 m comme le Chimborazo mais aussi les villes de Quito et Cuenca, joyaux d'architecture coloniale. L'Oriente est l'Amazonie équatorienne avec un climat chaud et humide, à la forêt tropicale dense et abritant une riche biodiversité naturelle. À l'ouest du pays, la Costa abrite les belles plages sauvages de la côte Pacifique et les plantations de bananes, une des principales ressources du pays. Enfin, situé à environ 1 000 kms des côtes équatoriennes, se trouve les Galápagos, archipel paradisiaque à la faune et flore uniques au monde ! Destination encore largement méconnue, l'Équateur présente pourtant une incroyable diversité de paysages naturels, une importante biodiversité parmi les plus riches au monde, des coutumes et croyances indigènes préservées et des conditions de voyage favorables avec un réseau routier en constante amélioration.
    • Volcans
      • L'Equateur est le pays des volcans. Les zones majeures se concentrent sur la partie centrale du pays.
    • Espèces animales
      • Les incontournables à observer lors de son circuit sont les lamas, anacondas et tortues, baleines...
  • Avant le départ
    • Qu'emporter dans sa valise
      • Ne vous chargez pas trop et prévoyez de la place pour vos achats au retour ! Il faut des vêtements d’été légers et confortables. Des vêtements chauds (de type polaire ou petite laine ) pour les régions en altitude. Un vêtement pour la pluie de type Kway. Pour la visite de certains monuments religieux il faut se couvrir les jambes et les épaules. Prévoyez donc pour ces visites un pantalon léger et un tee-shirt avec manches ou bien des paréos pour vous couvrir… Pour les randonnées et les excursions, des chaussures de sport légères suffisent largement. Une paire de tongs ou de sandales d’été. Un produit anti-moustiques. Une crème solaire. Un kit palme/masque/tuba pour explorer les fonds marins si vous le souhaitez. Une lampe de poche.
    • Appareils électroniques
      • En Equateur on utilise des prises de type A / B. Vous aurez besoin d'un adapteur.
    • Argent
      • La monnaie locale utilisée est le dollar américain $USD.
    • Documents de voyage
      • Votre passeport doit être valable jusque 6 mois après la date de votre sortie du territoire. Visa pas obligatoire.
    • Vaccins
      • Pas de vaccins obligatoires.
  • Transport aérien
    • Atterissage
      • Vous atterirez à l'aéroport international de Quito et disposerez dans celui-ci de toutes les commodités nécéssaires.
    • Retard de bagage
      • Il peut arriver que vos bagages arrivent avec 2 à 3 jours de retard. Ils vous seront alors livrés à votre hôtel et nous coordonnerons au mieux la livraison avec la compagnie. En revanche, vous aurez le désagrément de ne pas avoir vos affaires pendant quelques jours. Notre conseil est de garder avec vous en cabine une tenue au cas-où.
  • Pendant le séjour
    • Pourboires
      • Rien n’est obligatoire, mais comme en France et selon votre satisfaction vous pouvez remercier en donnant le montant en dollars de votre choix.
    • Téléphoner
      • Sans l'option de s'obtenir d'une carte SIM locale directement à votre arrivée à l'aéroport (ou dans une échoppe en ville plus tard), vous pourrez utiliser votre téléphone en mode avion et wifi.
    • Wifi
      • Tous vos hôtels disposent du wifi.
• Japon
  • Le pays en quelques lignes
    • Langues
      • Le Japonais est la langue officielle et la plus courante au Costa Rica.
    • Météo
      • Le printemps (mars à mai) est l’une des périodes les plus populaires pour visiter le Japon. Les cerisiers en fleurs, ou sakura, transforment les parcs et temples en véritables tableaux vivants. Les températures sont douces, idéales pour explorer les villes comme Kyoto, Tokyo ou Hiroshima. L’été (juin à août) débute par une saison des pluies (tsuyu) qui dure généralement de mi-juin à mi-juillet. Bien que les précipitations soient plus fréquentes, les paysages sont verdoyants et les sites touristiques moins fréquentés. Juillet et août sont ensuite très chauds et humides, mais rythmés par les grands festivals traditionnels (matsuri) et les feux d’artifice spectaculaires. L’automne (septembre à novembre) est une excellente saison pour voyager : les températures redeviennent agréables et les érables japonais se parent de rouge et d’or. C’est une période idéale pour randonner dans les Alpes japonaises ou visiter les temples de Kyoto sous les feuillages flamboyants. L’hiver (décembre à février) apporte de la neige sur une grande partie du pays, notamment sur l’île de Hokkaido et dans les Alpes japonaises, faisant du Japon une destination de choix pour les amateurs de ski et d’onsen (sources chaudes). Dans les grandes villes, l’hiver reste sec et ensoleillé, parfait pour les visites culturelles sans la foule.
    • Décalage horaire
      • Le Japon est en avance de 7 ou 8 heures sur la France métropolitaine, selon la période de l’année. En hiver, lorsqu’il est midi à Paris, il est 20h à Tokyo. En été, avec le passage à l’heure d’été en France (le Japon ne change pas d’heure), il y a 7 heures de décalage : midi à Paris correspond à 19h au Japon. Du côté du Québec, le décalage horaire est encore plus important : 13 à 14 heures d’avance selon les saisons (13h à Montréal = 3h ou 4h du matin le lendemain à Tokyo).
    • Sécurité
      • Le Japon est l’un des pays les plus sûrs au monde. La criminalité y est extrêmement faible, et les voyageurs peuvent s’y déplacer avec une grande tranquillité, de jour comme de nuit. Il n’est pas rare de voir des enfants prendre seuls les transports en commun ou des objets de valeur oubliés être rapportés à la police intactes. Cela dit, comme partout, quelques recommandations de bon sens s’appliquent : Même si les risques sont très faibles, restez vigilant dans les grandes gares et lieux très touristiques (Tokyo, Osaka, Kyoto), notamment contre les petits vols opportunistes.Ne laissez pas vos effets personnels sans surveillance, surtout dans les lieux publics comme les cafés, restaurants ou trains. Il est conseillé de garder une copie numérique de votre passeport sur votre téléphone ou dans le cloud, même si la perte ou le vol de documents reste exceptionnel. En cas de situation d’urgence ou de besoin d’assistance, les commissariats appelés "kōban" (petits postes de police de quartier) sont nombreux, accessibles et très aidants, même si les policiers ne parlent pas toujours anglais. Fun fact : il est courant au Japon de retrouver un objet perdu (portefeuille, téléphone…) dans le même état à l’endroit même où vous l’avez laissé, ou bien remis au poste de police le plus proche. Sécurité naturelle : le Japon est un pays à forte activité sismique. Les autorités sont très bien préparées et les consignes claires : En cas de tremblement de terre, suivez les instructions des autorités locales ou de votre hébergement. Il est conseillé de consulter les alertes officielles, notamment via l'application gratuite "Safety Tips", recommandée aux voyageurs.
    • Différentes zones du pays
      • Le Japon est un archipel fascinant composé de plusieurs îles principales, chacune offrant une ambiance, une culture et des paysages uniques. Voyager au Japon, c’est traverser des mondes aux contrastes saisissants : entre mégalopoles futuristes, villages préservés, montagnes sacrées et rivages tropicaux. Honshu, l’île principale – cœur historique et culturel du Japon : Tokyo, la capitale, est un monde à elle seule. Hypermoderne, électrisante, déroutante, elle concentre le cœur économique et culturel du pays. Sortir à Shibuya, faire du shopping à Harajuku ou s’offrir une parenthèse zen à Yanaka vous plongera dans la richesse de la capitale japonaise. À quelques heures de train, Kyoto dévoile un tout autre visage : temples centenaires, geishas dans les ruelles de Gion, forêts de bambous à Arashiyama... Kyoto incarne le Japon traditionnel dans toute sa splendeur. Osaka, grande métropole du Kansai, séduit par sa convivialité, son ambiance populaire et sa gastronomie renommée (ne manquez pas les takoyaki ou l’okonomiyaki). Plus au sud, Hiroshima et Miyajima rappellent l’histoire poignante du pays tout en offrant des paysages marins d’une beauté remarquable. Les Alpes japonaises – entre nature sauvage et villages préservés : Au centre du pays, la chaîne montagneuse des Alpes japonaises dévoile une autre facette du Japon. Takayama et Shirakawa-go sont deux joyaux d’architecture traditionnelle, nichés dans les montagnes, idéals pour découvrir l’art de vivre rural japonais. L’hiver, les stations de ski de Hakuba, Nozawa Onsen ou encore Shiga Kogen offrent des pistes poudreuses réputées mondialement. L'été, la région se prête à merveille à la randonnée, notamment dans le parc national de Kamikōchi. Tohoku – le Japon secret et authentique : Moins touristique, le nord de Honshu regorge de trésors naturels et culturels. Entre lacs volcaniques, sources chaudes (onsen), festivals traditionnels et paysages ruraux, la région de Tohoku (Aomori, Akita, Yamagata...) séduit ceux qui cherchent un Japon loin des sentiers battus. C’est aussi une zone idéale pour l’observation des saisons : les cerisiers au printemps y sont sublimes, les érables en automne enflamment les montagnes, et l’hiver transforme tout en carte postale. Okinawa et les îles du Sud – le Japon tropical : À plus de 1 500 km au sud de Tokyo, l’archipel d’Okinawa vous transporte dans un tout autre univers : plages paradisiaques, eaux turquoise, coraux, culture unique à mi-chemin entre Japon, Chine et Asie du Sud-Est. Sur les îles Ishigaki, Miyako ou Iriomote, partez pour des balades en kayak dans la mangrove, de la plongée avec les raies manta ou des moments de farniente dans un cadre digne des Caraïbes. À ne pas manquer : les danses Ryukyu, la cuisine locale et l'hospitalité chaleureuse des habitants. Shikoku – spiritualité et nature intacte : Moins connu, Shikoku est l’île des pèlerins. On y suit le célèbre pèlerinage des 88 temples, à pied ou en bus, au cœur d’une nature luxuriante. Ses gorges, ses ponts suspendus, ses villages d’artisanat (papier washi, poterie) et ses festivals ancestraux font de cette île un véritable havre d’authenticité. Kyushu – volcans, sources chaudes et traditions vivantes : Au sud-ouest, Kyushu séduit les amoureux de sources thermales (onsen), notamment dans les villes de Beppu et Kurokawa. C’est une île marquée par une forte activité volcanique : le mont Aso possède l’un des plus grands cratères du monde. C’est aussi une terre de traditions vivantes, avec de superbes châteaux (Kumamoto), des jardins japonais (Kagoshima) et une culture culinaire riche (ramen, shochu). À ne pas manquer : Nagasaki, avec son histoire unique d’ouverture vers l’Occident. Hokkaido – le grand nord japonais : L’île la plus septentrionale du Japon est un paradis pour les amateurs de nature, de faune et d’activités en plein air. En hiver, Hokkaido est la capitale japonaise du ski et du snowboard avec les stations de Niseko et Furano. L’été, l’île dévoile ses prairies fleuries, ses parcs nationaux sauvages, ses lacs immenses et une culture aïnou unique. La région de Biei et ses champs de lavande sont tout simplement magiques en juillet.
    • Destination culturelle
      • Un voyage au Japon, c’est bien plus qu’un simple dépaysement : c’est une immersion dans une civilisation raffinée, empreinte de rites, de silence et de beauté. Le Japon ne se visite pas, il se ressent et se respecte. À travers chaque temple, chaque ruelle pavée, chaque cérémonie du thé, le pays dévoile un art de vivre unique, transmis de génération en génération. Découvrez la grandeur du Japon impérial à Kyoto, ancienne capitale aux innombrables sanctuaires shintoïstes, pavillons zen et jardins contemplatifs. Laissez-vous émouvoir par la quiétude des temples bouddhistes de Nara, les allées de torii vermillons de Fushimi Inari ou encore le mysticisme du mont Koya, cœur du bouddhisme ésotérique. À Tokyo, la tradition côtoie l’avant-garde : entre les gratte-ciels et les néons, vous trouverez des quartiers préservés comme Asakusa ou Yanaka, où le Japon d’autrefois murmure encore à l’ombre des lanternes. Dans le nord, plongez dans les cultures rurales de Tohoku, aux festivals vibrants et aux rites ancestraux. À l’extrême sud, à Okinawa, explorez un autre visage du Japon, métissé et insulaire, aux influences culturelles propres et à l’hospitalité solaire. Partout sur l’archipel, vous croiserez les traces d’un passé aussi riche qu’harmonieux : châteaux féodaux, villes samouraïs, jardins classés, maisons de thé, théâtres Nô ou Kabuki, et bien sûr, les onsen, ces bains thermaux naturels au cœur des montagnes ou au bord de la mer.
    • Destination nature
      • Le Japon, une mosaïque de paysages entre volcans, forêts, rizières et îles tropicales Si l’on connaît souvent le Japon pour ses mégalopoles high-tech, c’est oublier que plus de 70 % de son territoire est couvert de montagnes, forêts, lacs et rivages sauvages. Des neiges d’Hokkaido aux plages de sable blanc d’Okinawa, le Japon est une terre de contrastes naturels d’une richesse insoupçonnée. En quelques heures de train à grande vitesse, vous pouvez passer des pentes boisées du mont Fuji aux cascades isolées des gorges de Takachiho, des forêts de cèdres millénaires de Yakushima à la mer d’émeraude des îles Yaeyama. Explorez la forêt primaire de Yakushima, classée au patrimoine mondial de l’UNESCO, où la mousse tapisse les rochers et les cèdres géants vieux de plusieurs millénaires abritent une faune unique. Une randonnée sur ses sentiers, enveloppé dans le brouillard et le chant des rivières, reste une expérience mystique inoubliable. En hiver, partez pour les Alpes japonaises : à Nagano ou Hida, découvrez des villages enneigés, des singes se baignant dans les onsen naturels, ou pratiquez la randonnée en raquettes au cœur des cimes. Dans la région volcanique de Kumamoto ou Kagoshima, randonnez autour de cratères actifs, baignez-vous dans des sources chaudes naturelles en pleine nature, ou contemplez les vapeurs soufrées du mont Aso. Côté littoral, explorez les rivières cristallines de la péninsule d’Izu, les falaises de la côte de Noto ou les plages secrètes de la péninsule de Noto. Dans le sud tropical, le parc marin de Kerama offre d’incroyables sessions de snorkeling et des rencontres fréquentes avec dauphins, tortues marines et poissons multicolores. Les parcs nationaux japonais, du Daisetsuzan à Shiretoko en passant par Nikko, Akan Mashu ou le Kumano Kodo, offrent un éventail de randonnées, d’expéditions en kayak, de baignades dans des rivières pures et d’observation animalière (ours noirs, cerfs sika, macaques, grues, aigles...). Enfin, ne manquez pas l’observation du fameux Quetzal japonais : la grue du Japon, symbole de paix et d’immortalité, que l’on peut admirer dans les brumes hivernales de Kushiro, sur l’île d’Hokkaido.
    • Meilleures plages
      • Explorez les eaux turquoise d’Okinawa, détendez-vous sur le sable blanc de Miyako-jima, ou profitez du charme sauvage de la plage de Jodogahama à Iwate. Des criques secrètes aux spots de plongée, le Japon cache des trésors balnéaires insoupçonnés.
    • Espèces animales
      • Archipel aux écosystèmes variés, le Japon abrite une faune étonnante. Des macaques japonais des Alpes enneigées aux cerfs en liberté à Nara, en passant par les tanukis, renards et ours noirs d’Hokkaido, le pays offre une riche biodiversité. On y trouve aussi des salamandres géantes, des grues du Japon (symboles de longévité), et une grande diversité d’oiseaux migrateurs. Les eaux japonaises accueillent dauphins, baleines et tortues marines, particulièrement autour d’Okinawa.
    • Observation d'oiseaux
      • Le Japon est un paradis discret pour les amateurs d’ornithologie. Avec plus de 600 espèces observables, l’archipel attire chaque année des passionnés du monde entier. Hokkaido est célèbre pour la grue du Japon, oiseau emblématique associé à la longévité, observable en hiver dans les plaines enneigées de Tsurui. À Kyushu, les milans noirs et les oies sauvages peuplent les zones humides de la baie d’Isahaya. Okinawa, quant à elle, abrite des espèces endémiques comme le râle d’Okinawa ou le pic d’Ishigaki. De nombreux sanctuaires et parcs naturels offrent des conditions idéales d’observation, notamment le parc national de Kushiro ou les îles Nansei. Des associations locales organisent des sorties et mènent des projets de conservation, sensibilisant les voyageurs à la richesse fragile de l’avifaune japonaise.
    • Observation de mammifères
      • Le Japon offre une expérience unique d’observation de mammifères, entre mer et montagne. Côté océan, les îles d’Ogasawara et d’Okinawa sont parmi les meilleurs spots pour voir des baleines à bosse (de janvier à mars) et des dauphins toute l’année. Des excursions en bateau permettent d’approcher ces géants marins dans le respect de leur environnement. Sur terre, Hokkaido abrite ours bruns, renards roux et cerfs Sika, visibles dans les parcs naturels comme Shiretoko. Dans les Alpes japonaises, les célèbres macaques japonais (ou singes des neiges) se baignent dans les sources chaudes de Jigokudani, un spectacle saisissant en hiver. Le pays compte aussi des espèces rares comme la loutre d’Amami ou la musaraigne géante de Ryukyu, endémiques et protégées. L’observation se fait souvent dans des réserves, accompagnée de guides naturalistes ou lors d’excursions éco-responsables.
  • Avant le départ
    • À emporter
      • Préparez léger mais malin ! Le Japon offre un grand confort, et vous trouverez facilement ce dont vous avez besoin sur place. Ne vous chargez pas trop et prévoyez de la place pour vos achats au retour ! La majorité des hôtels proposent un service de laverie et on trouve dans certaines villes des laveries à + ou – 3$ le kg (lavage + séchage). Vêtements : Prévoyez des habits adaptés à la saison et aux régions visitées. En été, il fait chaud et humide : vêtements légers, respirants, et un chapeau. Au printemps et en automne, ajoutez une veste ou un pull. En hiver (surtout à Hokkaido ou dans les Alpes), il faut un bon manteau chaud. Pluie : Un K-way ou une cape de pluie est utile, surtout pendant la saison des pluies (juin-juillet). Chaussures : Des chaussures confortables pour marcher dans les villes, et des chaussures de randonnée si vous partez en montagne (Kumano Kodo, Alpes japonaises…). Produits utiles : Crème solaire, anti-moustique (notamment pour l’été ou Okinawa), petit kit pharmacie. Pas besoin de moustiquaire : les hébergements sont très bien équipés.
    • Appareils électroniques
      • Le Japon utilise du courant en 100V avec des prises de type A/B, identiques à celles des États-Unis. La plupart des appareils modernes (smartphones, ordinateurs, appareils photo) sont compatibles, mais vérifiez que vos chargeurs supportent le 100-240V (indiqué sur le boîtier). Pensez à emporter un adaptateur pour prises plates si vos appareils ont des fiches européennes. Les prises avec mise à la terre (type B) sont moins courantes, donc privilégiez des fiches à deux broches.
    • Argent
      • Inutile d’emporter des euros ou des dollars : les paiements en espèces se font exclusivement en yens, et les devises étrangères sont rarement acceptées, même dans les hôtels. Vous pouvez retirer des yens sur place dans les distributeurs des konbini (7-Eleven, Lawson...), présents partout, ou dans les bureaux de poste. Prévoyez toujours du liquide, car de nombreux petits restaurants, temples, ryokan et transports locaux n’acceptent pas la carte. Il est fortement recommandé de voyager avec au moins deux cartes bancaires internationales, car certaines peuvent être refusées sans raison apparente. Vérifiez également les plafonds de retrait avant le départ. Enfin, les distributeurs ne sont pas tous disponibles 24h/24, notamment en zone rurale.
    • Documents de voyage
      • Pour les voyageurs en provenance de France, Belgique, Suisse, Canada et la plupart des pays européens, aucun visa n’est requis pour un séjour touristique au Japon de moins de 90 jours. Il suffit de présenter un passeport valide pour toute la durée du séjour (aucune exigence de validité minimale au-delà du séjour prévu). Depuis octobre 2022, il est fortement recommandé de remplir une déclaration de douane électronique et d’enregistrer ses informations de voyage à l’avance via Visit Japan Web (https://vjw-lp.digital.go.jp/), pour faciliter les formalités à l’arrivée. Assurez-vous également d’avoir un billet retour ou de continuation, car il peut être demandé à l’entrée.
    • Vaccins obligatoires
      • Aucun vaccin n’est obligatoire.
  • Transport aérien et accueil à l’aéroport
    • Atterrissage
      • Vous arriverez très probablement à l’un des deux principaux aéroports internationaux : Tokyo-Narita (NRT) ou Tokyo-Haneda (HND), ou à Kansai International (KIX) si vous atterrissez à Osaka. Ces aéroports sont modernes, bien organisés et très bien desservis. Vous y trouverez toutes les commodités : change de devises, carte SIM/Internet, distributeurs de billets, konbini, restaurants, location de voiture et centres d’information.
    • Retard de bagage
      • Un retard de bagage peut arriver, même au Japon. Si cela se produit, les compagnies aériennes assurent généralement la livraison gratuite à votre hébergement, sous 24 à 72 heures. Nous suivrons la situation et vous aiderons à coordonner la livraison. En attendant, gardez l’essentiel en bagage cabine : sous-vêtements, t-shirt, une tenue. adaptée à la saison (été/hiver), chargeurs et produits d’hygiène. En été, les températures peuvent dépasser les 30°C à Tokyo ou Kyoto ; en hiver, elles peuvent descendre sous 0°C dans les Alpes japonaises. Si vous avez acheté votre billet avec une carte bancaire Visa Premier, Gold Mastercard ou équivalent, vous pouvez bénéficier d’une indemnisation pour retard de bagage (jusqu’à 200€ en général). Conservez les justificatifs d’achat et demandez une attestation de retard à la compagnie. Enfin, en cas de perte ou de détérioration de bagage, l’agence ne peut être tenue responsable. Pensez à déclarer le problème immédiatement auprès du service bagage de l’aéroport.
    • Transfert aéroport - hôtel
      • Pour rejoindre le centre-ville, plusieurs options s’offrent à vous : train express (Narita Express, JR Kansai Rapid...), métro, bus limousine ou taxi.
  • Véhicule de location
    • Documents nécessaires
      • Pour louer une voiture, vous devez avoir votre permis de conduire national, Une traduction officielle en japonais (obligatoire pour les permis français, belge, suisse, etc.), délivrée par la Japan Automobile Federation (JAF) ou certaines ambassades, Ou un permis de conduire international, pour les pays reconnus. Le conducteur doit avoir au moins 18 ans, mais certaines agences exigent 21 ans et une carte de crédit nominative. Nous proposons également des options pratiques : livraison du véhicule à votre hôtel, prise en charge à l’aéroport, ou transfert vers le point de location.
    • Véhicule de location
      • Nos voitures sont modernes, bien entretenues et parfaitement adaptées aux routes japonaises, connues pour leur excellent état. Louer un véhicule est une excellente option si vous souhaitez explorer des zones rurales, les Alpes japonaises, Kyushu ou Hokkaido à votre rythme. Les voitures sont disponibles en boîte automatique, avec GPS multilingue (souvent en anglais, parfois en français). GOOGLE MAPS est aussi très complet pour vous balader au Japon. Les modèles proposés vont de la compacte à la familiale, avec ou sans transmission intégrale. Le 4x4 n’est pas nécessaire, sauf en hiver dans certaines régions enneigées.
    • État des routes
      • Le réseau routier japonais est de très haute qualité, que ce soit en ville ou à la campagne. Les autoroutes sont parfaitement entretenues, fluides et bien indiquées (souvent en japonais et en anglais). Les routes secondaires, même en zones rurales ou montagneuses (comme dans les Alpes japonaises ou à Kyushu), sont asphaltées et en excellent état.
    • Précautions
      • La conduite est généralement sereine, à gauche, avec une limitation de vitesse à 100 km/h sur autoroute, et souvent 40 à 60 km/h ailleurs. Attention aux routes étroites dans certains villages ou montagnes.
    • Accident
      • En cas d’accident, ne déplacez pas le véhicule si cela peut nuire à la constatation des faits. Allumez vos feux de détresse, sécurisez la zone si possible, puis contactez immédiatement la police (110) et votre compagnie de location, qui vous indiquera la marche à suivre. Les Japonais sont très respectueux du protocole, alors suivez bien les consignes. Pensez à appeler notre numéro d’urgence francophone pour bénéficier d’une assistance sur place. Si le véhicule est immobilisé, l’assurance de location inclut généralement un service de remorquage et de transport jusqu’à votre hôtel. Gardez tous les documents liés à l’incident pour le suivi administratif.
    • Assurance complémentaire
      • Au Japon, l’assurance de base est toujours incluse dans la location de voiture, couvrant les dommages corporels et matériels causés à autrui (Responsabilité Civile). Elle inclut généralement : CDW (Collision Damage Waiver) : elle réduit la franchise à payer en cas d’accident. PAI (Personal Accident Insurance) : couvre les blessures du conducteur et des passagers. NOC (Non-Operation Charge) : frais à payer si le véhicule est immobilisé à la suite d’un accident. Cependant, ces assurances n’annulent pas totalement la franchise. Pour plus de sérénité, vous pouvez souscrire des assurances complémentaires optionnelles, souvent proposées à la remise du véhicule : Super CDW : annule totalement la franchise en cas de dommage au véhicule. NOC Reduction : réduit voire annule les frais de Non-Operation Charge. Assurance pneu/pare-brise : en cas de dommage spécifique. Bon à savoir : les cartes bancaires haut de gamme (Visa Premier, Mastercard Gold, AMEX…) couvrent parfois ces assurances si vous payez la location avec. Vérifiez auprès de votre banque. Un dépôt de garantie peut être requis selon la catégorie du véhicule, mais il est souvent faible voire inexistant au Japon grâce à la confiance dans le système local.
  • Pendant le séjour
    • Pourboires
      • Au Japon, le pourboire ne fait pas partie des usages culturels. Laisser un pourboire peut même être mal perçu ou considéré comme une gêne, voire une insulte dans certains contextes. Le service, très professionnel et attentionné, est inclus dans le prix. Voici quelques indications adaptées : Restaurants et bars : Aucun pourboire. Le service est inclus et l’addition est exacte. Tenter de laisser de l’argent peut entraîner des refus polis ou un retour de la somme. Taxis : Aucun pourboire n’est attendu. Les chauffeurs rendent toujours la monnaie, même pour de très petites sommes. Hôtels et ryokans : Pas de pourboire, sauf dans de très rares cas de ryokan haut de gamme, où une petite enveloppe (avec 1 000 à 2 000 yens) remise discrètement au personnel lors de l’arrivée peut être une forme de remerciement traditionnelle appelée kokorozuke — mais cela reste facultatif. Bagagistes : Pas de pourboire attendu. Guides : Si vous avez réservé un guide privé ou un circuit personnalisé, un geste de remerciement (entre 1 000 et 3 000 yens par jour, remis dans une enveloppe) est apprécié, mais pas obligatoire. Chauffeurs privés (sur plusieurs jours) : Même principe que pour les guides : un remerciement peut être bien vu, mais reste à votre discrétion. En résumé : Ne vous sentez pas obligé de laisser de pourboire. Le Japon valorise la qualité du service offerte sans attente de gratification supplémentaire.
    • Téléphoner
      • Votre smartphone peut s’avérer très utile au Japon, notamment pour naviguer dans les transports, utiliser Google Maps ou traduire des menus. Pour en profiter pleinement, plusieurs options s’offrent à vous dès votre arrivée : Si votre téléphone est désimlocké, vous pouvez acheter une carte SIM locale à l’aéroport (Tokyo, Osaka, etc.) ou dans les grandes enseignes d’électronique comme Bic Camera ou Yodobashi Camera. Ces cartes SIM offrent principalement un accès à Internet (data uniquement), mais certaines proposent également des appels. Comptez environ 2 000 à 4 000 yens selon la durée et le volume de données. Les appels via une carte SIM locale sont coûteux. Il est donc recommandé d’utiliser des applications comme WhatsApp, Skype, FaceTime ou Messenger en Wi-Fi ou via le pocket Wi-Fi. En cas d’urgence, les numéros suivants sont utiles : Police : 110 Pompiers / Ambulance : 119 Il est fortement conseillé de prévoir votre solution de connexion avant le départ, car certains opérateurs ou loueurs de pocket Wi-Fi demandent une réservation préalable.
    • Wifi
      • La majorité des hôtels proposent un accès wifi gratuit, la plupart du temps à la réception ou au restaurant, plus rarement dans les chambres. Mais si jamais, le Pocket Wifi (routeur Wi-Fi portable), est l’option la plus populaire chez les voyageurs. Ce petit boîtier vous permet de connecter plusieurs appareils (smartphones, tablettes, ordinateurs) à Internet en 4G. Il se loue à la journée (entre 5 et 10 € par jour) et peut être récupéré à l’aéroport ou livré à votre hôtel. Très pratique si vous voyagez à plusieurs ou si vous ne voulez pas changer votre carte SIM.
    • Argent
      • Au Japon, la monnaie locale est le yen (¥). Bien que le pays soit très développé technologiquement, les paiements en espèces restent très courants, notamment dans les petits restaurants, les temples, les marchés, ou les commerces traditionnels. Il est donc essentiel d’avoir toujours du liquide sur soi, surtout si vous vous éloignez des grandes villes. Les distributeurs automatiques (ATM) ne sont pas tous compatibles avec les cartes bancaires étrangères. Pour éviter les mauvaises surprises : Utilisez les ATM des 7-Eleven (ouverts 24h/24), très fiables et acceptant les cartes internationales (Visa, MasterCard, etc.). Vous pouvez aussi retirer dans les bureaux de poste japonais, qui disposent d’ATM compatibles. Les cartes bancaires sont acceptées dans les hôtels, grandes enseignes, gares, et restaurants de moyenne à haute gamme. Cependant, de nombreux établissements (petits restaurants, ryokan, temples, transports locaux) n’acceptent que les espèces. Ayez donc toujours du liquide à portée de main. Il est possible de changer des euros en yens dans les aéroports, les banques ou certains hôtels, mais : Les taux de change ne sont pas toujours avantageux. Les délais dans les banques peuvent être longs. Il est plus pratique de retirer directement des yens aux distributeurs avec votre carte bancaire internationale. Petite astuce : Avant de partir, informez votre banque de votre voyage au Japon pour éviter le blocage préventif de votre carte lors de retraits ou paiements à l’étranger.
    • Gastronomie locale
      • La gastronomie japonaise est variée, raffinée et reconnue mondialement pour sa qualité, sa fraîcheur et son équilibre. Que ce soit dans un petit restaurant local, une échoppe de rue ou un établissement gastronomique, les expériences culinaires font partie intégrante du voyage. Parmi les plats emblématiques que vous pourrez découvrir : Le ramen : soupe de nouilles servie dans un bouillon parfumé (soja, miso ou tonkotsu), agrémentée de viande, œuf mariné, algues… Le sushi et sashimi : poisson cru d’une fraîcheur irréprochable servi avec du riz vinaigré ou simplement en tranches. Le donburi : bol de riz surmonté de viande, poisson ou légumes (gyudon, katsudon…). Le okonomiyaki : sorte de crêpe salée garnie selon les goûts (chou, porc, fruits de mer, etc.). Le tempura : beignets légers de légumes ou fruits de mer. Le bento : plateau-repas complet, idéal pour les trajets en train ou les pauses déjeuner. Un repas dans un restaurant local coûte généralement entre 700 et 1 200 yens (environ 5 à 9 €). Il est aussi possible de manger pour très peu cher dans les konbini (supérettes ouvertes 24h/24 comme 7-Eleven, Lawson, Family Mart) où l’on trouve des bentos, sandwichs, salades, et snacks variés à des prix très abordables. Conseil : Ne manquez pas de tester des spécialités régionales (comme le takoyaki à Osaka ou le miso katsu à Nagoya) et d'explorer les marchés alimentaires ou les petits izakayas (bars à tapas japonais) pour goûter une cuisine authentique et conviviale.
    • Activités de détente
      • Le Japon est une destination idéale pour celles et ceux qui souhaitent mêler découverte culturelle et moments de détente. La tradition du bien-être y est profondément ancrée, notamment à travers les onsen (sources chaudes naturelles), les ryokan (auberges traditionnelles), les jardins japonais, ou encore les soins inspirés des médecines orientales. Les onsen (sources thermales) : Les onsen sont présents dans tout le pays, du nord au sud. Il s'agit de véritables bains relaxants en eau naturellement chaude et minérale, souvent situés dans des environnements magnifiques : montagnes, bords de mer, forêts… Les régions de Hakone, Beppu, Kusatsu, Kinosaki ou encore Noboribetsu sont particulièrement réputées pour leurs bains thermaux. Massages et soins bien-être : Dans les grandes villes (Tokyo, Kyoto, Osaka…), vous trouverez de nombreux salons proposant des massages shiatsu, de la réflexologie, ou des soins du visage. Certains spas haut de gamme, parfois situés dans les hôtels internationaux ou les quartiers de luxe, offrent des expériences mêlant techniques japonaises et cosmétiques modernes. Expériences locales et relaxation : Dans certaines régions rurales ou au cœur des ryokan, vous pourrez bénéficier de soins traditionnels dans un cadre paisible, entouré de jardins zen ou de montagnes.À Kyoto ou Nara, offrez-vous un moment de calme dans un jardin sec, un temple bouddhiste ou une maison de thé, où l'art de la contemplation et du silence est un vrai luxe. Conseil : pour vivre une expérience 100 % japonaise, réservez une nuit dans un ryokan avec repas kaiseki et accès à un onsen privé. Rien de mieux pour se ressourcer après une journée de visite !
    • Activités d'aventure
      • Si le Japon évoque souvent temples, jardins zen et gastronomie raffinée, il ne faut pas oublier que l’archipel est aussi un formidable terrain de jeu pour les amateurs d’activités de pleine nature, d’adrénaline ou de paysages spectaculaires. Le Japon est un pays très montagneux, offrant une multitude de sentiers de randonnée, accessibles aux débutants comme aux marcheurs confirmés. Parmi les plus populaires : L’ascension du Mont Fuji (de début juillet à début septembre), symbole national, qui offre un lever de soleil inoubliable depuis son sommet. Les Alpes japonaises, dans la région de Nagano ou Gifu, idéales pour des randonnées en altitude avec refuges. La vallée de Kamikōchi, classée parc national, avec ses sentiers le long des rivières cristallines, au pied des sommets. Les anciens chemins de pèlerinage comme le Kumano Kodo ou le Nakasendo, qui permettent de combiner marche, nature et spiritualité. Le Japon regorge de rivières encaissées idéales pour le rafting ou le canyoning, en particulier dans les régions montagneuses comme : Minakami (préfecture de Gunma) : spot très populaire pour le rafting, avec des rapides de classe III à IV au printemps. Oku-Iya (île de Shikoku) : parfait pour le canyoning dans un décor sauvage et préservé. Rivière Yoshino, également sur Shikoku, considérée comme un des meilleurs sites de rafting du Japon. Les excursions sont toujours encadrées par des professionnels qualifiés, avec équipement fourni. Les parcours dans les arbres et les tyroliennes se développent au Japon, dans un esprit très nature. Le parc Forest Adventure, présent dans plusieurs régions (Hakone, Yamanashi, Nagano…), propose des parcours aériens en pleine forêt avec tyroliennes, ponts suspendus et filets. Dans la région de Nikko, certains temples sont reliés par des ponts suspendus dans un cadre magnifique. Ces parcours sont accessibles aux enfants comme aux adultes, avec un bon encadrement. Le Japon étant un archipel volcanique, de nombreuses activités tournent autour de cette géologie particulière : Observation de fumerolles et bains de sable chaud à Beppu ou Ibusuki. Promenade autour de l’Aso, l’un des plus grands cratères au monde. Découverte des gorges de Takachiho, où l’on peut pagayer en barque entre des falaises de basalte spectaculaires. Le Japon dispose de plusieurs zones de plongée réputées, notamment : Les îles d’Okinawa, avec leurs eaux turquoise, leurs récifs coralliens et leur faune marine (tortues, poissons tropicaux…). L’île d’Ishigaki et ses raies manta. Les îles Ogasawara, accessibles depuis Tokyo par ferry, classées au patrimoine naturel de l’UNESCO. Le snorkeling est très répandu sur les plages d’Okinawa, et plusieurs centres proposent des sorties guidées ou des baptêmes de plongée. En hiver, les régions de Hokkaido et de Nagano attirent les amateurs de ski et de snowboard avec une neige réputée dans le monde entier.En été, des stations comme Hakuba ou Furano se convertissent aux activités de montagne (VTT, parapente, etc.). Le cyclotourisme est aussi très apprécié, en particulier sur des itinéraires comme la Shimanami Kaido, une piste cyclable reliant plusieurs îles par des ponts spectaculaires. Conseil pratique : Les Japonais accordent une très grande importance à la sécurité. Que vous soyez en mer, en montagne ou dans une forêt, toutes les activités sont encadrées par des professionnels bien formés, et le matériel est systématiquement fourni. N’hésitez pas à vous inscrire à une sortie organisée pour vivre une expérience sereine, immersive et authentique.
• Maldives
  • Le pays en quelques lignes
    • Langues
      • Les langues officielles sont le divehi et le maldivien mais l'anglais est couramment utilisé, parfois même le français dans certains hôtels.
    • Météo
      • Au coeur de l'Océan Indien, l'archipel des Maldives bénéficie d'un climat tropical équatorial. Les températures varient entre 26° et 38° toute l'année. Cependant, il y a quand même une période de mousson de mai à novembre, avec un pic d'humidité en juin-juillet. Mais sachez que les pluies sont globalements de courte durée et le soleil revient toujours assez vite.
    • Décalage horaire
      • Les Maldives comptent 4h de plus qu'en France. Exemple : quand il est 12h00 en France, il est 16h aux Maldives.
    • Meilleures périodes
      • La période de janvier à mars est la période dite idéale. Plein soleil et rares pluies. Le mois de février est le plus sec.
    • Sécurité
      • D'un point de vue climatique, les moussons peuvent provoquer de fortes remontées des eaux qui engendre des inondations. Sinon, en cas d’agression, dans la mesure du possible, il est conseillé de n’opposer aucune résistance. - ne pas se promener la nuit seul, dans la rue, dans les parcs publics, les endroits isolés ou sur les plages. - en toute circonstance, ne laisser aucun document, ni effets personnels sans surveillance : à la plage, dans un bus, dans un restaurant ou un bar, dans un véhicule, à un arrêt de bus. - ne pas ranger les passeports, cartes bancaires, devises et billets d’avion dans des sacs à dos ou des sacs à main, mais de préférence les dissimuler sous les vêtements. - ne pas porter d’objets de valeur sur soi (montre, bijoux, etc.), ni de grosses sommes d’argent. - ne pas ranger tous ses objets de valeur/documents au même endroit (les répartir entre les bagages et/ou co-voyageurs).
    • Différentes zones
      • Les Maldives représentent un large archipel de plus de 200 îles habitées. Malé, la capitale se situe sur l'atoll Malé Nord.
    • Destination culturelle
      • Les Maldives, c'est un mélange de culture : influences indiennes, srilankaises, malaisiennes, arabes, perses, indonésiennes, africaines... Le pays compte près de 360 000 habitants. La religion d'état est l'islam et l'expression de leur culture passe principalement à travers elle. Les danses et musiques traditionnelles sont quant à elles fortement inspirées par les arts martiaux asiatiques et le cinéma bollywoodien.
    • Espèces animales
      • La faune maritime est impressionnante aux Maldives. Vous pourrez observer des baleines, dauphins, requins, raies et pléthores de poissons. Côté terrestre, crabes, serpents et tortues sont fréquents sur les plages. Enfin, de nombreuses espèces d'oiseaux peuplent l'archipel comme des hérons et corbeaux.
  • Avant le départ
    • Qu'emporter dans sa valise
      • Votre voyage aux Maldives approche et le moment vient de préparer sa valise. Ne vous chargez pas trop et prévoyez de la place pour vos achats au retour ! La majorité des hôtels proposent un service de laverie. - Vêtements d’été légers et un vêtement pour la pluie de type K-way ou cape de pluie hors périodes sèches. - Une paire de tongs ou de sandales d’été. - Un produit anti-moustiques au cas-où mais rassurez-vous il n’est pas nécessaire d’emmener une moustiquaire. - Une crème solaire. - Une petite pharmacie : aspirine, smecta, désinfectant, crème pour apaiser les piqures d’insectes. - Un kit Palme/Masque/Tuba pour explorer les fonds marins (ou à louer sur place si trop encombrant). - Une lampe de poche. - Enfin, pensez aux jumelles.
    • Appareils électroniques
      • Courant en 220-240V et prises européennes à 3 trous. Pour brancher vos appareils avec prise française, il suffira d’enfoncer un stylo bille dans le 3ème trou! Beaucoup d’hôtels fournissent des adaptateurs.
    • Argent
      • La monnaie locale est le rufiyaa (MVR) cependant les cartes de crédits françaises sont acceptées dans les hôtels et vous pourrez aussi retirer des dollars dans les guichets de l'aéroport ou en ville. En mars 2023, 1€ = 16,47 rufiyaa.
    • Documents de voyage
      • Aucun visa obligatoire. Votre passeport doit être valide au moins 6 mois après la date de votre fin de séjour.
    • Vaccins requis
      • Aucun vaccin obligatoire.
  • Aéroport
    • Atterissage
      • Vous atterirez à l'aéroport de Malé. Votre visa vous sera délivre au guichet sur place à l'arrivée. Vous trouverez dans cet aéroport toutes les commodités nécéssaires.
    • Retard de bagage
      • Il peut arriver que vos bagages arrivent avec 2 à 3 jours de retard. Ils vous seront alors livrés à votre hôtel et nous coordonnerons au mieux la livraison avec la compagnie. En revanche, vous aurez le désagrément de ne pas avoir vos affaires pendant quelques jours. Notre conseil est de garder en bagage cabine un maillot, un short, un t-shirt et une paire de tong !
  • Pendant le séjour
    • GPS
      • Avec l’application mobile WAZE (GPS de Google Maps), votre smartphone se transforme en un GPS intelligent et gratuit.
    • Pourboires
      • Rien n’est obligatoire, mais comme en France et selon votre satisfaction vous pouvez remercier en donnant 2 ou 3 rufiyaa.
    • Téléphone
      • Sans l'option de s'obtenir d'une carte SIM locale directement à votre arrivée à l'aéroport (ou dans une échoppe en ville plus tard), vous pourrez utiliser votre téléphone en mode avion et wifi. Parfois, votre hôtel pourront aussi vous vendre une carte sim locale. Tous disposent du wifi.
    • Assistance
      • Mathieu, notre agent local, suivra toute la logisitique de votre circuit. Vous pourrez le contacter pendant votre séjour si vous avez une question ou un souci.
• Namibie
  • Le pays en quelques lignes
    • Langues
      • L'anglais est la langue officielle en Namibie.
    • Météo
      • Janvier - Avril représente la saison humide avec quelques jours de pluies. Mai - Septembre est l'hiver en Namibie (au "creux de l'hiver" en juin les températures avoisinent toutefois les 22°). Il est aussi agréable d'y aller pendant cette période. Vous pouvez aussi profitez du plein été en fin d'année, d'octobre à décembre. Relativement toute l'année peu importe les saisons, les températures en journée avoisinent les 30°.
    • Décalage horaire
      • La Namibie n'a qu'une heure de plus sur la France. Exemple : quand il est 12h00 en France, il est 13h00 en Namibie.
    • Sécurité
      • La Namibie est un des pays africains les plus sûrs, toutefois, la déliquance dû à une forte disparité sociale est présente. En cas d’agression, dans la mesure du possible, il est conseillé de n’opposer aucune résistance. - ne pas se promener la nuit seul, dans la rue, dans les parcs publics, les endroits isolés ou sur les plages. - en toute circonstance, ne laisser aucun document, ni effets personnels sans surveillance : à la plage, dans un bus, dans un restaurant ou un bar, dans un véhicule, à un arrêt de bus. - ne pas ranger les passeports, cartes bancaires, devises et billets d’avion dans des sacs à dos ou des sacs à main, mais de préférence les dissimuler sous les vêtements. - ne pas porter d’objets de valeur sur soi (montre, bijoux, etc.), ni de grosses sommes d’argent. - ne pas ranger tous ses objets de valeur/documents au même endroit (les répartir entre les bagages et/ou co-voyageurs).
    • Destination culturelle
      • Pays fondé en 1990 après avoir obtenu son indépendance de l'Afrique du Sud. La densité de population y est extrêmement faible. Actuellement, plus de 2 millions d'habitants peuplent le pays. Ils sont répartis sur de vastes espaces et non concentrés sur un seul.
    • Meilleures plages
      • La plage de Sossusvlei est à couper le souffle. D'une manière générale, sur la côte ouest, vous découvrirez d'immenses et longues étendues de plages avec des dunes de sables. En revanche, l'eau de l'Océan Atlantique n'excède pas les 18° en Namibie.
    • Espèces animales
      • Girafes, guépards, léopards, zèbres, lions, éléphants, antilopes, crocodiles, hippopotames, rhinocéros, près de 700 espèces d'oiseaux remarquables... Planifiez un safari ou plus sur votre circuit !
  • Avant le départ
    • Qu'emporter dans sa valise
      • Votre voyage en Namibie approche et le moment vient de préparer sa valise. Ne vous chargez pas trop et prévoyez de la place pour vos achats au retour ! La majorité des hôtels proposent un service de laverie. - Vêtements d’été légers et un vêtement pour la pluie de type K-way ou cape de pluie hors périodes sèches. - Une paire de tongs ou de sandales d’été. - Un produit anti-moustique. - Une crème solaire. - Une petite pharmacie : aspirine, smecta, désinfectant, crème pour apaiser les piqures d’insectes. - Une lampe de poche. - Enfin, pensez aux jumelles.
    • Appareils électroniques
      • Les prises électriques sont rondes à trois fiches (comme en Afrique du Sud). Le voltage est du 220V.
    • Argent
      • La monnaie locale est le dollar namibie (NAD). Le rand sud-africain est également utilisé et accepté dans tous le pays. En mars 2023, 1€ = 19,48 NAD.
    • Documents de voyage
      • Le visa pour les ressortissants français n'est pas obligatoire. À l'arrivée, votre titre de séjour courte durée (90 jours) vous sera remis. Vérifiez bien la date inscrite dessus pour vous éviter une mauvaise surprise.
    • Vaccins requis
      • Pas de vaccins obligatoires.
  • Aéroport
    • Atterissage
      • Vous atterirez à l'aéroport de Windhoek (la capitale du pays) et disposerez dans celui-ci de toutes les commodités nécéssaires.
    • Retard de bagage
      • Il peut arriver que vos bagages arrivent avec 2 à 3 jours de retard. Ils vous seront alors livrés à votre hôtel et nous coordonnerons au mieux la livraison avec la compagnie. En revanche, vous aurez le désagrément de ne pas avoir vos affaires pendant quelques jours. Notre conseil est de garder en bagage cabine un maillot, un short, un t-shirt et une paire de chaussure !
  • Pendant le séjour
    • Location de voiture
      • Lorsque vous récupérerez votre véhicule au bureau du loueur, vous devrez donner votre carte de crédit afin que le prestataire prenne en compte le montant correspondant à la franchise. A savoir que la plupart des loueurs n’acceptent pas les cartes de débit. Pour une question de sécurité, la majorité des loueurs de voitures ont équipé leurs véhicules de mouchards. Une limitation de vitesse autre que celle du code de la route namibien est alors appliquée : - sur route goudronnée, limitation à 100km/h au lieu de 120 km/h autorisés par la loi namibienne - sur pistes qu’elles soient en bon état ou non, limitation à 80km/h au lieu de 100 km/h autorisés par la loi namibienne. Toutes les pistes namibiennes ne sont pas en bon état. La qualité des pistes varie en fonction de la région mais aussi du trafic. Les pistes et la conduite sur sable ne sont pas comparables à la conduite sur routes enneigées et routes européennes. Dès que les limitations de vitesse sont dépassées, un bip sonore s’active dans la voiture jusqu’à que la vitesse autorisée par le loueur soit respectée. De plus, pour certains loueurs, après deux avertissements ou deux excès de vitesses selon les limites autorisées comme citées ci-dessus, la franchise n’est alors plus applicable. Ces consignes sont appliquées pour éviter au maximum les accidents de voiture. L’état des pistes namibiennes se dégrade avec l’augmentation du trafic et le manque d’entretien. Du aux vibrations causées par la taule ondulée, vos véhicules peuvent devenir bruyant et peuvent s’abimer pendant levoyage, notamment portes, climatisation... (même si ceux-ci fonctionnent parfaitement au moment du départ). Les véhicules subissent beaucoup de secousses à cause de l’état des pistes, mais ce n’est en rien un problème d’amortisseurs.
    • Pourboires
      • Rien n’est obligatoire, mais comme en France et selon votre satisfaction vous pouvez remercier en donnant 10 NAD.
    • Téléphone
      • Sans l'option de s'obtenir d'une carte SIM locale directement à votre arrivée à l'aéroport (ou dans une échoppe en ville plus tard), vous pourrez utiliser votre téléphone en mode avion et wifi.
    • Monuments inscrits au patrimoine mondial de l'UNESCO
      • La Namibie compte deux sites inscrits au patrimoine mondial de l'UNESCO : le désert du Namib et Twyfelfontein.
    • Fêtes locales récurrentes
      • La fête nationale est le 21 mars. À Windhoek, le carnaval se tient en avril ou mai selon les années et leur salon de l'agriculture ou septembre ou octobre selon l'année.
• Népal
  • Le pays en quelques lignes
    • Météo & saisons
      • Le Népal connaît deux saisons bien marquées : la saison sèche (octobre à mai) et la mousson (juin à septembre). L’automne offre un ciel limpide et une visibilité parfaite sur les sommets, ce qui en fait la haute saison touristique. Le printemps fait éclore les rhododendrons et attire les randonneurs par ses températures douces. La mousson, avec ses pluies abondantes et ses sentiers glissants, révèle une végétation exubérante ; certaines régions, comme le Mustang, restent alors praticables. L’hiver, en revanche, peut rendre les zones en altitude difficilement accessibles.
    • Décalage horaire
      • Le Népal est à UTC+5h45, soit 4h15 de moins qu’en France en hiver et 3h15 de moins en été. Par exemple, lorsqu’il est midi à Paris en janvier, il est 7h45 à Katmandou.
    • Sécurité
      • Le Népal est généralement sûr, notamment dans les zones touristiques. Il convient d’éviter les lieux isolés la nuit, de garder ses objets de valeur en sécurité et de signaler tout trek ou itinéraire. Une assurance spécialisée pour les activités en montagne est vivement conseillée.
    • Différentes zones du pays
    • Destination culturelle
      • Le Népal regorge de richesses historiques et religieuses. Dans la vallée de Katmandou, les cités médiévales comme Bhaktapur, Patan et Katmandou offrent une plongée dans l’architecture newar et les pratiques hindoues et bouddhistes. Les festivals rythment la vie locale, avec des célébrations spectaculaires comme Dashain, Holi ou Tihar.
    • Destination nature
      • Le pays offre une variété inégalée de paysages, de la jungle dense aux sommets himalayens. Les treks, comme ceux des Annapurnas, du Langtang ou de l’Everest, traversent des écosystèmes multiples. À Chitwan ou Bardia, la nature sauvage s’exprime dans sa pleine splendeur, entre éléphants, rhinocéros et forêts profondes.
    • Les plus baux lacs & rivières
      • Le Népal ne dispose pas de mer, mais ses lacs paisibles et ses rivières bouillonnantes offrent détente et aventures. Le lac Phewa à Pokhara reflète les cimes de l’Annapurna, tandis que les rives plus calmes de Begnas Tal permettent de se ressourcer. Les amateurs de sensations peuvent descendre la Trishuli River en rafting.
    • Observation d’oiseaux
      • Avec plus de 850 espèces recensées, le Népal est un sanctuaire pour les ornithologues. Dans les parcs de Chitwan ou Bardia, on peut observer martins-pêcheurs, calaos, aigles et hérons. En altitude, les forêts abritent le faisan monal, emblème national, et d’autres espèces rares du monde himalayen.
    • Observation de mammifères
      • Les parcs nationaux du Téraï sont les meilleurs endroits pour voir des animaux emblématiques : tigres du Bengale, rhinocéros unicornes, éléphants sauvages, ours lippus, léopards et cerfs des marais. Dans les régions montagneuses, la panthère des neiges, bien que discrète, veille sur les vallées reculées.
  • Avant le départ
    • à emporter
      • Emportez des vêtements en couches (T-shirt technique, polaire, doudoune légère, imperméable), un bon pantalon de randonnée, des chaussures solides, une casquette, une gourde filtrante, du répulsif anti-moustiques et une trousse à pharmacie complète.
    • Appareils électroniques
      • Le courant est en 230V et les prises de type D sont majoritaires. Prévoyez un adaptateur universel. Les batteries externes sont recommandées, surtout en trek. Les drones sont réglementés : autorisation requise, souvent interdits dans les parcs nationaux.
    • Argent
      • La monnaie locale est la roupie népalaise (NPR). Les distributeurs sont disponibles dans les grandes villes. En trek, prévoyez du liquide. L’euro est accepté dans les bureaux de change mais le dollar reste plus pratique.
    • Documents
      • Un visa est obligatoire (possible à l’arrivée ou en ligne). Le passeport doit être valide 6 mois après le retour. Pour les treks, une carte TIMS et des permis spéciaux sont requis selon les zones. Pensez à emporter copies papier et numériques de vos documents.
  • Aéroport
    • Atterrissage
      • Vous atterrirez à l'aéroport international Tribhuvan de Katmandou, la capitale du pays. Vous y trouverez des bureaux de change, des guichets téléphoniques pour acheter une carte SIM locale, et un service de taxi prépayé. Bien que l'aéroport soit relativement petit et parfois chaotique, tout le nécessaire est présent pour débuter votre aventure sereinement.
    • Retard de bagage
      • Il peut arriver que vos bagages arrivent avec 1 à 3 jours de retard. Ils seront alors livrés à votre hôtel dès réception, en coordination avec la compagnie aérienne. Cela dit, vous risquez de devoir patienter quelques jours sans vos affaires. Notre conseil : gardez avec vous en bagage cabine l’essentiel pour les premiers jours — un T-shirt, un sous-vêtement de rechange, un pantalon léger, une paire de chaussures et quelques produits d’hygiène.
  • Pendant le séjour
    • Location de voiture
      • Louer une voiture au Népal n’est pas courant pour les voyageurs : le réseau routier est chaotique, mal entretenu, et la conduite locale peut être difficile à appréhender pour un étranger (conduite à gauche, trafic dense et aléatoire, routes de montagne dangereuses). En général, les voyageurs préfèrent opter pour un chauffeur privé, ce qui permet de voyager plus sereinement et en toute sécurité. Si vous louez un véhicule, attention : les routes de montagne sont étroites, les glissements de terrain fréquents pendant la mousson, et les limitations de vitesse ne sont pas toujours respectées. Peu de routes sont goudronnées en dehors des grands axes.
    • Pourboires
      • Les pourboires ne sont pas obligatoires, mais fortement appréciés. En trek, on remercie souvent les porteurs, guides ou chauffeurs avec une enveloppe à la fin du séjour (prévoir environ 3 à 5 € par jour selon le rôle). Dans les restaurants ou hôtels, un pourboire équivalent à 5 à 10 % est bienvenu si le service est satisfaisant.
    • Téléphone
      • Il est très facile d’acheter une carte SIM locale à l’aéroport (Ncell ou Nepal Telecom) ou en boutique. Le réseau mobile est bon dans les villes et assez développé dans certaines zones rurales. Dans les treks en altitude, la couverture devient sporadique, mais les lodges proposent souvent du Wi-Fi (parfois payant). Pensez à désactiver les données mobiles hors forfait si vous utilisez votre carte SIM française.
    • Monuments inscrits au patrimoine mondial de l'UNESCO
      • Le Népal compte plusieurs sites classés à l’UNESCO, dont : - La vallée de Katmandou (avec les villes de Bhaktapur, Patan et Katmandou, incluant de nombreux temples et stupas) - Le parc national de Sagarmatha (région de l’Everest) - Le parc national de Chitwan (faune sauvage) - Lumbini, lieu de naissance de Bouddha
    • Fêtes locales récurrentes
      • Le calendrier népalais est riche en fêtes colorées et spirituelles. - Dashain (septembre-octobre) : la plus grande fête hindoue, célébrée pendant 15 jours. - Tihar (octobre-novembre) : fête des lumières, proche de Diwali en Inde. - Holi (février-mars) : la fête des couleurs, très populaire dans les villes comme Pokhara ou Katmandou. - Nouvel An népalais (mi-avril) : célébré avec des festivités dans tout le pays. Ces événements sont autant d’occasions de vivre la culture locale dans une ambiance festive.
• Pérou
  • Le pays en quelques lignes
    • Météo
      • Le Pérou est un pays aux multiples visages climatiques, dictés par sa géographie contrastée entre côte, Andes et Amazonie. La meilleure période pour visiter les hauteurs andines – Cusco, la Vallée Sacrée ou le Machu Picchu – s’étend de mai à septembre, durant la saison sèche. Les journées sont ensoleillées, les nuits fraîches, et les sentiers dégagés. C’est la période idéale pour le trek. En revanche, de décembre à mars, les pluies deviennent plus fréquentes dans la cordillère, certaines randonnées peuvent être impraticables, mais la nature y est plus verdoyante. Sur la côte Pacifique, le climat est aride et doux. L’été austral, de décembre à mars, est chaud et ensoleillé : c’est la meilleure saison pour profiter des plages du sud (Paracas, Máncora). Le reste de l’année, la côte est souvent couverte d’une brume marine appelée la garúa. Enfin, dans l’Amazonie péruvienne, le climat est chaud et humide toute l’année, avec des pluies plus marquées entre novembre et avril. Néanmoins, même durant cette saison, les visites restent possibles, et l’observation de la faune y est souvent exceptionnelle.
    • Décalage horaire
      • Le décalage horaire entre la France métropolitaine et le Pérou est de moins 7 heures en hiver et moins 6 heures en été. Ainsi, lorsqu’il est midi à Lima en hiver, il est 19h à Paris. Le Pérou ne change pas d’heure en été, ce qui explique cette variation saisonnière. Pour le Québec, le décalage est de 1 à 2 heures selon la saison.
    • Sécurité
      • Le Pérou est une destination globalement sûre pour les voyageurs, notamment dans les zones touristiques comme Lima, Cusco, Arequipa ou le lac Titicaca. Cependant, une vigilance de base est recommandée, notamment dans les grandes villes ou les transports publics. Voici quelques conseils inspirés des recommandations de France Diplomatie : Évitez de vous promener seul(e) de nuit dans les zones peu fréquentées, particulièrement à Lima. Ne laissez jamais vos effets personnels sans surveillance, que ce soit à la plage, dans un bus, un taxi ou au restaurant. Préférez porter vos documents importants sous vos vêtements dans une pochette sécurisée, et gardez une copie de votre passeport sur vous ou dans votre téléphone. Ne portez pas d’objets de valeur visibles (bijoux, montres coûteuses, gros appareils photo). Dans certains cas (notamment à Lima), il peut être conseillé d’utiliser des taxis réservés via une application plutôt que de les héler dans la rue. Les zones andines, bien que très touristiques, peuvent parfois présenter de petits risques d'arnaques, notamment autour des grands sites : restez attentif sans tomber dans la méfiance excessive.
    • Différentes zones du pays
      • Le Pérou se dévoile en trois grands territoires, tous aussi riches qu’uniques : la côte Pacifique, les hauteurs andines et l’Amazonie tropicale. Dans la région andine, véritable cœur spirituel du pays, on découvre Cusco, ancienne capitale de l’empire inca, la Vallée Sacrée, ses villages traditionnels, ses marchés colorés, ses terrasses agricoles suspendues et, bien sûr, l’incontournable Machu Picchu, cité perdue perchée dans les nuages. Arequipa, avec ses façades coloniales en pierre blanche, ouvre les portes vers le spectaculaire canyon de Colca, où l’on peut admirer les majestueux condors. Au sud-est, le lac Titicaca, plus haut lac navigable du monde, est bordé de communautés vivant sur des îles flottantes ou sur les rives paisibles de la région de Puno. Plus au nord, le chemin de l’Inca, les treks de Salkantay ou de Choquequirao offrent une immersion hors du temps. Sur la côte, Lima mêle modernité, art de vivre et héritage colonial. Plus au sud, les dunes de Huacachina, les mystères des lignes de Nazca, les réserves naturelles de Paracas ou les plages ensoleillées de Máncora offrent une parenthèse entre désert, océan et nature. Enfin, l’Amazonie péruvienne, au départ d’Iquitos ou de Puerto Maldonado, vous plonge dans l’immensité de la jungle. Lodges écolos, navigation sur les affluents de l’Amazone, observation de singes, oiseaux tropicaux, caïmans et dauphins roses rythment une immersion fascinante au cœur de la biodiversité.
    • Destination culturelle
      • Un voyage au Pérou, c’est un plongée dans une mosaïque de civilisations. Ici, les pierres parlent. Des temples pré-incas de Chavín, Nazca ou Caral, aux merveilles de l’empire inca comme Sacsayhuamán, Ollantaytambo ou le Machu Picchu, chaque vallée, chaque site archéologique révèle une facette du génie des peuples andins. Mais le Pérou, c’est aussi un pays vivant, où les rituels anciens perdurent : processions en costumes traditionnels, fêtes religieuses syncrétiques, musiques de flûtes et danses colorées. À Cusco, Puno, ou Ayacucho, on sent la ferveur culturelle battre au rythme des tambours et des offrandes à la Pachamama, la Terre-Mère. Le Pérou colonial, quant à lui, s’exprime dans l’architecture baroque d’Arequipa, les balcons en bois de Lima, ou les monastères silencieux de Cusco. Et au fil du voyage, on découvre une identité métissée, nourrie d’influences andines, espagnoles, africaines et amazoniennes. Un patrimoine vibrant, enraciné et ouvert sur le monde.
    • Destination nature
      • Le Pérou est l’un des pays les plus riches au monde en biodiversité. En quelques jours, on traverse des déserts côtiers, des sommets enneigés, des vallées verdoyantes, des forêts de nuages et la forêt amazonienne. Le trek dans les Andes, à plus de 3 000 mètres d’altitude, offre des panoramas grandioses sur des lagunes turquoise, des glaciers scintillants, et des communautés quechuas vivant au rythme des saisons. Dans les régions de Huaraz ou d’Ausangate, les montagnes sacrées se dévoilent à travers des chemins escarpés, parfois traversés par des vigognes sauvages ou des alpagas paisibles. L'Amazonie, accessible via Iquitos ou Tambopata, invite à l’exploration de rivières embrumées, de forêts primaires où chaque pas dévoile des orchidées rares, des singes hurleurs, des toucans et, pour les plus chanceux, un jaguar tapi dans l’ombre. Sur la côte, la réserve de Paracas est un sanctuaire de faune marine : otaries, manchots de Humboldt, oiseaux migrateurs. Plus au nord, les plages de Máncora ou Los Órganos sont idéales pour observer les baleines à bosse entre juillet et octobre. Le Pérou naturel, c’est un kaléidoscope de paysages et d’émotions, une aventure permanente entre cieux immenses et terres sacrées.
    • Les plus belles plages du Pérou
      • Bien que moins connues que ses trésors andins, les plages du Pérou réservent de très belles surprises, notamment pour ceux en quête de farniente, de surf ou d’observation marine. Au nord du pays, la région de Piura et Tumbes abrite les plus belles plages tropicales : Máncora, animée et ensoleillée toute l’année, est le repaire des surfeurs et des amateurs de vie de plage. Vichayito ou Las Pocitas, plus calmes, séduisent par leurs hôtels de charme les pieds dans le sable. Los Órganos est idéale pour nager, se détendre, et observer les baleines à la bonne saison. Sur la côte centrale et sud, les plages sont plus sauvages et désertiques, comme celles de la réserve de Paracas, où les dunes rejoignent l’océan Pacifique. Les îles Ballestas, au large, offrent un spectacle animalier unique : otaries, fous de Bassan, manchots... Et pour les voyageurs en quête d’authenticité, certaines criques isolées autour de Punta Sal ou Zorritos offrent un cadre paisible, propice au repos et à la contemplation.
    • Observation d’oiseaux
      • Le Pérou est un véritable sanctuaire pour les ornithologues, amateurs comme confirmés. Avec plus de 1 800 espèces d’oiseaux recensées, dont beaucoup sont endémiques, le pays est l’un des meilleurs spots au monde pour l’observation. Dans l’Amazonie péruvienne, notamment autour de Tambopata, Manu ou Iquitos, on peut apercevoir des aras multicolores, des toucans, des colibris aux plumages éclatants ou encore le mythique hoazin huppé. Dans les Andes, près de Colca, ne manquez pas le vol majestueux du condor, tandis que dans les zones côtières comme Paracas, vous croiserez flamants roses, fous à pieds bleus, pélicans et sternes. Un guide local équipé de longues-vues ou de jumelles enrichira considérablement votre expérience.
    • Observation de mammifères
      • Outre ses paysages fascinants, le Pérou abrite de nombreuses espèces de mammifères, souvent observables dans leur habitat naturel. En Amazonie, vous aurez peut-être la chance de voir des singes hurleurs, des paresseux, ou même des dauphins roses dans les rivières du bassin amazonien. Dans les Andes, il est fréquent de croiser des troupeaux de vigognes, lamas ou alpacas, animaux emblématiques du monde andin. Les renards andins ou viscaches peuvent également apparaître lors de randonnées en haute altitude. La région de Puno, au bord du lac Titicaca, est aussi un bon endroit pour observer certaines espèces lacustres, comme le chat des Andes ou le rare grenouille géante du lac.
  • Avant le départ
    • À emporter
      • Pour un voyage au Pérou, il faut être prêt à affronter des variations de température importantes, notamment entre la côte, la jungle et les montagnes. Prévoyez : Des vêtements en couches (t-shirts, polaire, coupe-vent, doudoune légère) Un pantalon de randonnée et un short Une veste imperméable Des chaussures de marche robustes et confortables Un chapeau ou une casquette, des lunettes de soleil, de la crème solaire Un répulsif anti-moustiques, surtout pour la jungle Un maillot de bain (bains thermaux ou jungle) Une trousse de pharmacie personnelle Une gourde, si possible filtrante, pour limiter l’achat de bouteilles en plastique
    • Appareils électroniques
      • Le Pérou utilise des prises de type A, B et C, avec un courant électrique de 220V / 60Hz. Les prises A et B sont les mêmes qu’en Amérique du Nord, mais il est préférable d’apporter un adaptateur universel pour ne pas être pris au dépourvu. Les réseaux 4G sont bien développés dans les grandes villes et la vallée sacrée, mais plus limités en montagne ou dans la jungle. Il est donc conseillé de prévoir une batterie externe pour vos téléphones et appareils photo. Si vous comptez utiliser un drone, sachez que certaines zones touristiques comme le Machu Picchu ou certains parcs nationaux l’interdisent. Renseignez-vous au préalable.
    • Argent
      • La monnaie locale est le sol (PEN). Les cartes bancaires sont acceptées dans la majorité des hôtels, restaurants et commerces des grandes villes, mais le paiement en espèces reste courant, notamment dans les zones rurales. Les distributeurs automatiques (ATM) sont nombreux, mais peuvent appliquer des frais variables. Il est donc recommandé de retirer des sommes raisonnables d’un coup, plutôt que de multiplier les retraits. Les euros peuvent être échangés dans les bureaux de change des grandes villes, mais les dollars américains sont plus facilement acceptés dans les établissements touristiques.
    • Documents de voyage
      • Pour entrer au Pérou, les ressortissants français, belges, suisses ou canadiens n’ont pas besoin de visa pour un séjour touristique de moins de 90 jours. Il vous suffit de présenter : Un passeport valable encore 6 mois après votre date de retour Votre billet de retour ou de continuation Il est conseillé de conserver une photocopie de votre passeport dans un autre bagage et de vous envoyer une copie numérique par email. Certaines formalités peuvent être demandées à l’arrivée (fiche migratoire, déclaration douanière), mais elles sont simples et rapides.
• Sri Lanka
  • Le pays en quelques lignes
    • Langues
      • Les Sri Lankais parlent le cinghalais et le tamoul. Beaucoup parlent anglais.
    • Météo
      • Haute saison, de décembre à mars, saison sèche dans les montagnes, la côte Ouest et Sud. La mousson de Maha (octobre à janvier) arrose l’est et les cités anciennes. Saison intermédiaire, avril et septembre à novembre, beau temps dans tout le pays. Basse Saison, de mai à août. La mousson de Yala : pluies sur les côtes Sud et Ouest et sur les régions montagneuses. Tous nos circuits tiennent compte des saisons pour que votre séjour au Sri Lanka soit le plus agréable possible.
    • Décalage horaire
      • Plus 4h30 de décalage horaire au Sri Lanka sur la France de novembre à mars et + 3h30 d’avril à octobre.
    • Meilleures périodes
      • Les saisons les plus agréables pour visiter l’île sont → De novembre à avril : La zone à privilégier pendant cette période est au Sud-Ouest de l'île. En effet, la "petite mousson" frappe le Nord de l'île créant une alternance de beau temps et de pluies, mais surtout rendant les plages peu fréquentables à cause d'un océan agité. En revanche, le Sud-Ouest de l'île bénéficie d'un climat ensoleillé et d'un océan très calme. Nous organisons donc nos itinéraires en commençant par les sites incontournables du Nord, en passant par le triangle culturel et les parcs nationaux, pour profiter des magnifiques plages du Sud à la fin de votre voyage. Du 20 décembre au 10 janvier : Ces 3 semaines représentent la saison très haute, où la demande est à son pic et les prix au plus haut. Le circuit reste le même, mais nous vous conseillons de réserver à l'avance pour éviter des situations de sur-booking. De juillet à août : Cette courte période, concordant parfaitement avec nos vacances scolaires, est le meilleur moment pour explorer la partie Nord-Est de l'île et ses longues plages sauvages. Affecté par la guerre (1983-2009) cette région est restée longtemps fermée et peu développée pour le tourisme. Vous commencerez par les villes coloniales du Sud, pour remonter sur les hauts plateaux et le triangle culturel, pour finir votre séjour au calme à Trincomalee. Les mois de saison basse : Les mois de Mai/Juin et Septembre/Octobre représentent l'intersaison, moment de transition où les moussons enveloppent l'ensemble du pays. Il ne pleut pas en continu, mais rien de vous garantit un ciel bleu ensoleillé. Si vous décidez tout de même de partir à ce moment, vous bénéficierez des prix les plus bas de tous les hôtels et activités du pays.
    • Sécurité
      • La guerre est terminée depuis 2009 et toute l’île est ouverte au tourisme. Le Sri Lanka n’est pas un pays dangereux mais il y a comme partout des petits délinquants. Faites donc attention à vos poches et vos affaires quand vous êtes au milieu de la foule ou lors des cérémonies religieuses. Dans les chambres d’hôtels, ne laissez pas vos affaires de valeur en évidence, au moins pour ne pas tenter les personnes de services. Mettez-les dans une valise fermée ou dans le coffre.
    • Différentes zones
      • - Jaffna et province nord : péninsule située tout au nord du Sri Lanka et à proximité de l’Inde du sud, Jaffna reste encore aujourd’hui une région largement méconnue. Peu fréquentée par les touristes, la province du nord est pourtant une étape importante pour comprendre l’histoire du pays. En effet, la région abritait autrefois le royaume de Jaffna ainsi que la dynastie tamoule. Elle a ensuite été façonnée par les européens lors des vagues de colonisation successives. Enfin, la région a été le théâtre d’une longue guerre civile (1983 – 2009) entre Tamouls et Cinghalais ayant fait de nombreuses victimes. Autrefois, la province du nord était prospère grâce à ses produits de la mer, tabac et oignons rouges. Considérée comme la capitale culturelle des tamouls sri-lankais, Jaffna et la province nord ne ressemblent en rien au reste du pays. De par son riche passé, ses traditions culturelles colorées, la région permet une immersion dans un autre Sri Lanka. Depuis la levée des restrictions en 2015, de nombreux atouts touristiques sont accessibles aux voyageurs. Les possibilités d’exploration hors des sentiers battus sont nombreuses. Bâtiments à l’architecture coloniale, importants monuments religieux, marchés et bazars aux saveurs locales, plages et campagnes tranquilles… La province du nord frappe également par ses différences culturelles avec le reste de l’île. Son rythme de vie paisible est ponctué par les fêtes religieuses hindoues. La gastronomie locale y est aussi très différente et épicée. - Cités anciennes : les cités anciennes du Sri Lanka constituent une étape incontournable lors d’un voyage sur la Perle de l’océan Indien. En effet, la région abrite le cœur historique du pays et de nombreux sites culturels majeurs. Vestiges du passé, anciens royaumes et sites religieux font de la région une étape culturelle riche en découvertes. La région, aussi appelée triangle culturel, comporte les sites d’Anuradhapura, Sigiriya, Dambulla, Polonnaruwa, Habarana et regroupent de nombreux immanquables. Par exemple, vous découvrirez le site de Mihintale, l’emblématique Rocher du Lion ou encore le vaste site archéologique de Polonnaruwa. Riche en histoires millénaires, la région permet de parcourir plus de 2000 ans à travers le temps. Sur les traces des rois et reines de l’époque, vous apprendrez également beaucoup sur la philosophie bouddhiste. Le Bouddhisme étant l’essence même des croyances et traditions du pays. Si la plupart des sites sont touristiques, la région des cités anciennes offre tout de même de nombreuses expériences pour les voyageurs en quête d’authenticité. Représentation d’Angampora, cours de cuisine et promenade en pleine nature dans des lieux sacrés font partie des possibilités offertes. Région montagneuse : la région montagneuse est une étape incontournable lors d’un voyage au Sri Lanka. Avec son climat plus frais et humide, la région offre de somptueux paysages contrastant avec le reste de l’île. Parmi ses trésors naturels se trouvent des montagnes mystiques, cascades aux piscines naturelles et plantations de thé à flanc de colline. Importée par les britanniques, l’industrie du thé y est très développée. Les thés les plus prestigieux au monde proviennent des feuilles récoltées au Sri Lanka par la communauté de cueilleurs tamouls. Les britanniques ont également développé un réseau ferroviaire, permettant encore aujourd’hui de faire l’expérience d’un voyage en train colonial. Ainsi, les montagnes du Sri Lanka offrent de nombreuses possibilités d’activités. Randonnée dans des paysages diversifiés, dégustation de thé au milieu des montagnes, baignade dans les cascades et piscines naturelles, sports d’aventure… Enfin, la région offre l’opportunité de rencontrer la communauté des cueilleurs de thé, de chanter avec les locaux lors d’un voyage en train ou de gravir les marches du Pic Adam dans une ambiance festive et conviviale. - Côte ouest : point de départ de tout circuit au Sri Lanka, la côte Ouest de l’île offre une mosaïque d’influences. En effet, la région abrite aussi bien de petits villages typiques que des villes et stations balnéaires développées. Si la ville moderne de Colombo concentre la plupart de l’activité économique de la région et du pays, les savoir-faire traditionnels continuent de perdurer. Des bateaux à voile des pêcheurs de Negombo aux masques de cérémonie en bois de la région de Bentota, la région offre un contraste saisissant entre tradition et modernité. Grâce à sa ligne ferroviaire longeant la côte, les déplacements sont facilités et se font au contact des habitants. De Kalpitiya jusqu’au sud de Bentota, les plages qui bordent la côte Ouest sont aussi bien fréquentées par les touristes que les locaux. La meilleure saison pour profiter des plages s’étend de novembre à avril. Ainsi, de nombreuses activités nautiques sont possibles. Kitesurf à Kalpitiya, plongée à Colombo, farniente à Bentota… Enfin, en s’éloignant du littoral, il est possible de retrouver un rythme plus calme et découvrir de petits temples cachés ou rencontrer les artisans locaux. - Côte sud : la côte Sud du Sri Lanka est à ne pas manquer lors d’un voyage sur l’île entre novembre et avril. En effet, la région est reconnue pour ses magnifiques plages bordées de cocotiers, ses hébergements de charme face à l’océan, ses bars et restaurants animés, ses nombreuses activités aquatiques, ses parcs nationaux et forêts préservées. À quelques kilomètres du rivage en s’enfonçant dans les terres, on découvre un Sri Lanka plus traditionnel. De belles rizières verdoyantes, des lacs aux lotus, des plantations de thé, caoutchouc ou de cannelle ainsi que des temples bouddhistes enfouis dans la végétation. Aussi, les parcs nationaux de la région permettent d’observer les animaux emblématiques de l’île dans leur cadre naturel. La côte Sud du Sri Lanka concentre également une forte activité de pêche : étals de poissons frais sur le bord des routes, bateaux de pêche traditionnels sur les plages… En se levant tôt le matin, il est possible de participer à la remontée des filets avec les pêcheurs locaux. Preuve que la côte Sud a su garder toute son authenticité malgré son développement touristique. - Côte est : la côte Est du Sri Lanka n’a rien à envier à la côte Sud de l’île : de belles et vastes plages encore largement méconnues, peu fréquentées et des conditions de baignade privilégiées. Avec une météo optimale de mai à septembre, la région est idéale pour des vacances d’été sous les tropiques. Outre la détente sur les plages, il est possible de faire du snorkeling dans le parc national de Pigeon Island, plonger dans les plus belles épaves historiques de l’île à Passikudah ou faire du surf dans le spot mondialement réputé d’Arugam Bay. En dehors de ses activités nautiques, la région permet aussi de belles découvertes culturelles. Notamment le temple hindou et fort colonial de Trincomalee. Marquée par la guerre civile et le tsunami de 2004, la côte Est est encore peu touristique et le contact avec les locaux facilité. Des échanges souvent enrichissants qui vous permettront d’en apprendre plus sur l’histoire et la culture.
    • Destination culturelle
      • Un voyage au Sri Lanka, c’est une immersion dans un pays aussi riche traditionnellement que culturellement. Le Sri Lanka ne se visite pas, il se vit. Revivez son passé colonial dans la ville de Galle, la grandeur des civilisations sri-lankaises d’Anuradhapura et Polonnaruwa, ou encore la ferveur du bouddhisme à Kandy. La plus belle île du monde, d’après Marco Polo, vous séduira par l’abondance de paysages qu’elle renferme, des plaines semi-désertiques du Nord, aux forêts tropicales du sud-ouest, en passant par les plantations de thé des hauts plateaux du centre. Tout au long de votre circuit, vous découvrirez de nombreux sites culturels liés au riche héritage historique du Sri Lanka. Cités anciennes, temples bouddhistes ou hindouistes, villes coloniales, vous émerveilleront par leur beauté, l’ambiance et ferveur qui y règnent.
    • Meilleures plages
      • Avec ses 1600 km de côtes bordées par l’Océan Indien, le Sri Lanka est un véritable paradis pour des séjours balnéaires. Les plages de sable fin bordées de cocotiers inclinés vers le large, le plus souvent désertes, constituent l’un des attraits majeurs de cette île tropicale. Le Sri Lanka compte plusieurs spots de surf (Arugam Bay sur la côte Est, Weligama sur la côte sud...), des sites de plongée et de snorkeling (Parc National de Pigeon Island sur la côte Est, le Récif de Great Basses sur la côte Sud ou Bar Reef à l'Ouest...) et des sites d'observation des baleines et dauphins (Mirissa au Sud et Kalpitiya à l'Ouest).
    • Espèces animales
      • Sanctuaires de vie sauvage, les Parcs Nationaux jouent un rôle important dans la conservation des éléphants sauvages du Sri Lanka. Ils abritent également la plus grande concentration de léopards au monde ainsi que de nombreuses espèces d’oiseaux endémiques. Les parcs se visitent sous forme de Safari Jeep sur une demi journée ou sur la journée. En y passant une journée entière on augmente évidemment les chances de voir des animaux et on peut faire un picnic sur les zones aménagées (une belle plage sauvage à Yala, ou au bord du réservoir de UdaWalawe).
    • Mammifères
      • Le parc national de Wilpattu, littéralement la terre des lacs où on en compte une soixantaine, est un des 4 parcs nationaux phares du Sri Lanka. La particularité de ce parc est d'être pourvus de lacs naturels qui se vident et se remplissent au gré des saisons. Il est situé dans les plaines intérieures, au Nord-Ouest du Sri Lanka. Le parc est à environ 30km de la ville d’Anuradhapura et à environ 25 km de Puttalam. Avec une surface proche de 132 000 hectares, Wilpattu est le plus grand des parcs nationaux du Sri Lanka, mais également l’un des plus anciens parc du pays. Il est reconnu mondialement pour également abriter une population importante de léopards. Un système de télésurveillance installé de juillet à octobre 2015 par le Wilderness & Wildlife Conservation Trust a permis de comptabiliser pas moins de 41 individus. 44 espèces de mammifères ont été recensées sur le territoire du parc de Yala, abritant la plus grande concentration de léopards au monde. Il bénéficie d’une variété d’écosystèmes allant des forêts humides de mousson aux zones humides marines et d’eau douce et a été le centre de civilisations anciennes accueillant encore deux importants sites de pèlerinages (Sithulpahuwa et Maguy vihara). Le tsunami de l’océan Indien de 2004 a causé de sévères dommages au parc, où 250 personnes ont trouvé la mort. Udawalawe : le parc national d’Uda Walawe est un parc national du Sri Lanka situé dans le sud du pays. Il tire son nom du grand réservoir d’Uda Walawe construit dans les années 1960 sur la rivière Walawe. Ce plan d’eau joue toujours un rôle central dans le parc, car les éléphants et d’autres animaux viennent s’y abreuver. Si le territoire a été dédié au parc dès 1971, c’est seulement à la fin de la décennie que les villageois l’ont quitté pour être relogés ailleurs, ce qui a permis de réduire le braconnage et l’abattage de bois, mais ces problèmes restent endémiques. L'intérêt majeur de visiter ce parc est pour sa forte concentration d’éléphants et d’oiseaux rares.
    • Oiseaux
      • Le parc national de Yala ou parc national Ruhuna est le deuxième plus grand parc national du Sri Lanka et le plus visité. À 300 km de Colombo, sur 979 km2, le parc est situé dans la région sud-est dans les provinces du Sud et d’Uva. En 1900, il a été désigné comme un sanctuaire de vie sauvage puis en 1938, avec le parc national de Wilpattu, il furent les premiers parcs nationaux créés au Sri Lanka. Yala est l’une des 70 zones importantes pour la conservation des oiseaux (ZICO) du Sri Lanka, abritant 215 espèces d’oiseaux dont 6 espèces endémiques. Le parc national de Minneriya quant à lui est situé dans la province Centre-Nord du pays. La zone a été classée parc National le 12 août 1997, il avait été déclaré sanctuaire de vie sauvage en 1938. Il a obtenu ce statut de zone protégée afin de garantir le bassin hydrographique du réservoir de Minneriya et la faune des environs. Le réservoir est un témoignage de l’histoire du Sri Lanka, construit sous le règne du roi Mahasen au cours du 3ème siècle après J.C. Le parc est un terrain d’alimentation en saison sèche pour la population d’éléphants vivant dans les forêts des districts de Matale, Polonnaruwa et Trincomalee. Parallèlement à Kaudulla et Giritale, Minneriya forme l’une des 70 zones importantes d’habitat d’oiseaux du Sri Lanka. Le parc est situé à 182 kilomètres de Colombo.
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